Dans un ancien billet, on a discuté de ne pas épousseter ni balayer les surfaces afin d’éviter de projeter dans l’air les gouttelettes pouvant contenir le virus de la COVID-19. Alors, une bonne pratique serait d’aspirer sur les planchers et les surfaces à l’aide d’un aspirateur à sec aillant un système de filtration HEPA pour ainsi bien les contenir.
Bien sûr, les méthodes de nettoyage humides sont les plus efficaces pour empêcher les gouttelettes de virus de se propager dans l’air. Cependant, elles nécessitent d’éliminer et de désinfecter en toute sécurité les têtes et les chiffons de vadrouilles contaminés. C’est ainsi que Nacecare, une compagnie professionnelle dans l’industrie du nettoyage commercial et industriel, a des solutions à nous proposer.
Aspirateurs-traîneaux et dorsaux Nacecare
Donc, les aspirateurs-traîneaux et dorsaux Nacecare sont des composants clés dans ces procédures de nettoyage aidant à prévenir la propagation du COVID-19. Voici les points / avantages des aspirateurs à sec Nacecare:
Un niveau de filtration élevé aidant à contenir ce qui est capturé – y compris les modèles certifiés HEPA
Une récupération maximale au sol soulevant et capturant les débris et les contaminants
Une aspiration directe à air sans agitateurs soulevant les débris et les gouttelettes de virus
Des sacs refermables pour une élimination plus sûre et hygiénique
Une utilisation d’accessoires / d’outils de précision au lieu d’épousseter (grilles de ventilation, rebords de fenêtre, dessus de meubles, etc.)
Aspirateurs disponibles en version électrique et à batterie
Modèles d’aspirateurs à sec Nacecare
Tous les aspirateurs à sec Nacecare avec un système HEPA font le travail pour aspirer les contaminants et les contenir à l’intérieur du sac d’aspirateur.
Quel est le meilleur type d’aspirateur parmi les aspirateurs verticaux, dorsaux ou traineaux? Malgré les préférences personnelles et le prix, il existe de réelles différences à tenir en compte. Voici donc quelques faits sur les aspirateurs et ces différents types.
Aspirateurs verticaux
Conçus pour être faciles à utiliser, il suffit de les prendre, les brancher et c’est parti! Sa conception en une pièce facilite le rangement et réduit les flexions lors de son emploi. Néanmoins, sa conception possède quelques inconvénients. Son poids entier repose sur le bras, l’épaule et le dos de l’usager lors de l’aspiration. Cela entraîne de la fatigue et augmente le risque de se blesser. Il est donc crucial de considérer ces faits sur les aspirateurs verticaux selon le temps et l’espace de nettoyage.
De plus, le moteur et le filtre sont dans un espace compact, ce qui nécessite moins de puissance du moteur. Ils ne récupèrent alors pas autant de saleté et requièrent plus de passage pour effectuer un travail complet. Ils sont également plus bruyants puisqu’ils ont moins de place pour l’isolation sonore (la majorité opère entre 70-75 dB(A)). Malgré tout, les aspirateurs verticaux sont plus faciles à ranger, faciles à employer et ne nécessitent pas le besoin de se pencher.
Aspirateurs traîneaux
L’espace qu’on nettoie est un facteur supplémentaire à considérer. Si l’on passe d’une moquette à un plancher dur, s’il y a des escaliers ou des meubles, alors un aspirateur traineau est une meilleure option. Il y a certains environnements auxquels seulement les aspirateurs traîneaux ont du sens.
Un exemple discuté par Kathleen Sutherland le démontre : « Une grande chaîne de magasins de vêtements avait beaucoup de mal à aspirer leur sol ; Ils avaient essayé un aspirateur dorsal, mais celui-ci ne cessait de faire tomber les étagères de vêtements lorsque l’opérateur se retournait ; Ils étaient donc obligés d’utiliser un aspirateur vertical qui ne pouvait pas passer dans les allées étroites ou sous les étagères ; Ils n’avaient même pas envisagé l’utilisation d’un aspirateur traîneau jusqu’à ce que nous leur démontrions que ce type d’aspirateur équipé d’un outil de productivité pouvait facilement passer sous les rayonnages et entre eux, ainsi que dans les grandes allées ; C’était l’exemple parfait d’une bonne solution pour le travail. »
Bien entendu, il y a des avantages et des inconvénients pour les aspirateurs traîneaux. Ces derniers nécessitent plus d’espace de rangement, plus de flexions et certaines personnes n’aiment pas devoir les tirer derrière elles.
Aspirateurs dorsaux
Les aspirateurs dorsaux partagent à peu près les mêmes avantages et désavantages des aspirateurs traîneaux. Ils sont meilleurs pour contourner les obstacles et s’utilisent sur différentes surfaces, mais nécessitent des flexions. Bien que légères, certains usagers n’aiment pas l’idée de le transporter sur leur dos. Cependant, la différence la plus importante quand vient le choix de choisir un aspirateur, c’est la productivité. Il y a une croyance commune que les aspirateurs verticaux conviennent mieux pour les grands espaces, mais le taux de productivité n’appuie pas cette pensée.
En se basant sur les taux de productivité de l’AISS, on peut commencer à effectuer une analyse des coûts de la main-d’œuvre et de la quantité d’équipement nécessaire.
Si un aspirateur avec fil nettoie 2x plus de surface dans le même laps de temps qu’un aspirateur vertical, alors il réduit de moitié le coût horaire en main-d’œuvre
Si l’on opte pour un aspirateur dorsal avec fil, on peut économiser plus de 60%
Si l’on opte pour un aspirateur traineau à batterie, on peut économiser 72%
Si l’on opte pour un aspirateur dorsal à batterie, on peut économiser 80%
Ces pourcentages représentent des dizaines, voire des centaines de milliers de dollars par année pour les grandes installations. Il faut savoir que la main-d’œuvre représente près de 55% des coûts de nettoyage. C’est donc impératif de regarder au-delà du prix d’achat et de comprendre réellement le coût du choix d’aspirateur.
Alors, considérant les différences en design et en préférence de l’utilisateur, il faut connaître les taux de productivité, connaître les fonctionnements et applications des aspirateurs. C’est ce que les professionnels de l’entretien ménager savent et font pour gagner du temps et de l’argent.
Traduction libre de l’article Master these Vacuum Cleaner Facts and Be Successful par Kathleen Sutherland, Directrice du marketing chez Nacecare Solutions.
Ce n’est pas la première ni dernière fois que l’on parle de recyclage, mais il est nécessaire de souvent en parler. Ensemble, on doit en faire davantage pour l’environnement en ce qui a trait au recyclage commercial. Nous connaissons un problème de gestion des ressources qui doit être résolu par de meilleures méthodes d’élimination des déchets.
Le pétrole nécessaire à la fabrication des plastiques pétrochimiques va s’épuiser, peut-être pas de manière imminente, mais en termes humains, bientôt. Les entreprises ayant besoin de plastiques frais pour créer des produits ou des emballages feront partie d’une demande croissante pour une offre décroissante. Aux États-Unis, seulement 8% des plastiques ont été correctement recyclés en 2017 à partir de 267,8 millions de tonnes de déchets solides municipaux. Ainsi, ça signifie que la plupart des emballages en plastique que l’on voit aujourd’hui et demain sont incinérés.
Le verre
Le recyclage comme méthode de gestion des ressources ne se limite pas qu’aux plastiques, mais s’étend au verre. Les matériaux en verre, colorés ou transparents, peuvent être recyclés presque indéfiniment. Le recyclage du verre consomme moins d’énergie, produit moins d’émissions et coûte globalement moins que la fabrication de verre neuf. C’est mieux pour les entreprises et pour l’environnement.
Les matériaux en papier
De même, le recyclage des matériaux en papier par rapport à la création de nouveau papier, réduit les émissions et préserve d’autres ressources naturelles. Lorsqu’on recycle une tonne de papier, on économise 30 000 litres d’eau. Donc, on réduit 95% de la pollution atmosphérique par rapport à la création de papier vierge.
Alors, dans chacun des exemples, on voit le rôle que joue le recyclage dans la réduction des émissions liées à la production de nouveaux matériaux et à l’incinération des déchets. Les clients ont moins la possibilité de faire leurs achats sur la base de matériaux vierges ou recyclés qu’une entité commerciale. On comprend donc l’importance des commerces d’effectuer ces choix et offrir cette possibilité aux clients.
Recyclage commercial et le changement climatique
Que se passerait-il si l’on ne recyclait pas davantage, si l’on ne réduisait pas les émissions et si l’on ne préservait pas les ressources disposées? L’industrie humaine, et les émissions qu’elle génère à cause d’une mauvaise élimination des déchets sont le facteur déterminant du changement climatique provoquant des perturbations météorologiques à grande échelle et une augmentation des températures mondiales.
Une importante étude de l’université de Chicago, publiée par le National Bureau of Economic Research, a révélé que l’augmentation des températures mondiales causera plus de décès que toutes les maladies infectieuses réunies. Un scénario à fortes émissions entraînerait un taux de mortalité mondial de 73 décès pour 100 000 personnes d’ici la fin du siècle. L’absence de recyclage commercial pourrait en fin de compte contribuer à la mort de plus de personnes que n’importe quelle maladie infectieuse mortelle.
Tout le monde est impliqué dans le développement de meilleures solutions de recyclage et dans l’augmentation des activités de recyclage. Du citoyen, à l’entreprise commerciale, jusqu’au fabricant innovant, on a tous la responsabilité de faire partie de la solution et de sauver des vies.
Traduction libre de l’article Why Commercial Recycling Matters par Rubbermaid Commercial Products
Vous avez des escapades en nature prochainement? En randonnée, en camping, au chalet ou à la plage, sachez que ce n’est pas sorcier de limiter ses déchets en nature! Découvrir nos beaux espaces verts, mais surtout de les préserver, c’est gratifiant! Le secret à cet effet, c’est simplement de se préparer et s’organiser avant vos sorties. On va explorer la règle des 5R, donner de p’tits trucs et proposer des actions ainsi que quelques accessoires pour limiter vos déchets.
La règle des 5R
Le mode de vie zéro déchet, dont l’auteure Béa Johnson est reine en la matière, est basé sur la règle des 5R (5 principes fondamentaux).
Refuser – refuser ce dont on n’a pas besoin ou envie. Par ex.: échantillons de produits offerts, sacs, catalogues, contenant/couverts et pailles à usage unique
Réduire – réduire la consommation et les emballages. En achetant en vrac et en privilégiant la qualité et les objets qui dureront plus longtemps. Faire du tri et opter pour un mode de vie minimaliste peut aider
Réutiliser – opter pour des emballages réutilisables et acheter des objets d’occasion (seconde vie)
Recycler – certains déchets sont inévitables, mais certaines choses peuvent se recycler à l’infini
Retourner à la terre – Dans un compost, les déchets organiques vont se dégrader naturellement pour donner naissance à un engrais à utiliser pour les plantes
Préparation et transport alimentaire
Ce qu’il faut faire, c’est de faire l’épicerie et retourner à la maison avant d’aller en camping ou au chalet. Ainsi, on prend le temps de réduire les emballages et les déchets avant de partir. Encore plus, pour contrer l’impact du suremballage, on peut même apporter des contenants, pots et sacs réutilisables pour remplir en vrac dans les épiceries zéro déchet. On peut aussi aller directement au comptoir de charcuterie, de boucherie ou de boulangerie pour éviter les aliment préemballés.
Pour la préparation alimentaire, il existe plusieurs petits trucs pour limiter l’apport de déchets et de compostables à l’extérieur. Par exemples:
Éplucher les légumes en avance et les mettre dans un contenant
Faire le mélange de pâte à crêpes ou d’œufs brouillés/à omelettes et le verser dans une bouteille
Préparer ses sauces en avance dans des pots Masson
Prudence avec les déchets organiques
Inversement à ce que l’on croit, les déchets organiques ne doivent pas être jetés dans la nature. Un restant de sandwich ou de fruit, bien que biodégradable, prend du temps à se décomposer, car on n’est pas dans les conditions idéales de compostage. Par exemple, une pelure de banane et d’orange peut prendre jusqu’à deux ans à se décomposer. De plus, sans s’en rendre compte, on risque de nourrir les animaux sauvages avec ses restants de nourriture. Ça peut modifier leurs comportements naturels et avoir un impact négatif sur leur santé et augmenter les contacts avec les humains. N’oubliez donc pas d’entreposer votre nourriture dans le coffre de votre véhicule pour éviter la visite d’animaux.
Ramener ses déchets
Il y a bel et bien des poubelles pour différents types de flux dans les parcs nationaux. Cependant, on peut se préparer en conséquence lorsqu’elles ne sont pas à proximité. On peut faire comme à la maison et apporter des contenants différents pour chaque type de déchets. Surtout, ramener chez soi toute substance nocive telle que le savon, l’huile, les combustibles et les pesticides.
Effectivement, le plus gros du travail est dans la préparation pour s’assurer de limiter les déchets rendus à l’extérieur. Cependant, quand tout est prévu, ça libère l’esprit et après, on passe davantage de temps à profiter de l’extérieur. Enfin, on sera fier de soi-même, on développera de bonnes habitudes et aura la conscience tranquille de ne pas polluer!
En lisant le titre de cet article, j’imagine que vous aviez eu à peu près la même réaction que moi. Vous vous êtes sûrement dit que les habitudes d’hygiène dans le Far West devaient être pratiquement inexistantes! Effectivement, il est difficile d’imaginer les habitudes d’hygiène dans le Far West alors que nous vivons présentement avec la COVID-19.
Brève histoire et colonisation du Far West
Le Far West est la période la plus célèbre de l’histoire de la région ouest américaine. Cette période a commencé en 1865 après la guerre de Sécession (entre 1861 et 1865) et s’est terminée en 1895. Géographiquement parlant, le Far West constitue les territoires situés dans l’ouest du Mississippi. Bien sûr, il y avait eu plusieurs vagues de colonisations dans l’ouest depuis l’arrivée des premiers colons européens en Amérique. La ruée vers l’or en Californie dans les années 1840 fut la première et l’appel du Manifest Destiny (l’idée que l’expansion vers l’ouest soit un droit américain et qu’il soit garanti) fut la deuxième. Grâce au développement des chemins de fer des années 1860 et à l’amélioration des technologies après la guerre civile, l’ouest a été plus accessible.
La présence de savon et shampoing
Selon Frank Clifford, un cowboy et un vagabond qui a écrit un mémoire sur sa vie dans le Far West américain, le savon existait. Il parlait de « savon à l’herbe », que les femmes mexicaines employaient pour laver leurs cheveux. Fabriqué à partir de la plante de yucca, le savon laissait les cheveux doux, propres et brillant. De nombreux colons utilisaient du savon fait de graisse animale, bien qu’il était connu pour être dur et irriter la peau. Cependant, le savon n’était pas une priorité. L’odeur corporelle était considérée comme une réalité et plusieurs croyaient que d’avoir des pores trop propres leurs exposaient aux germes et aux maladies.
Quant au shampoing, certaines personnes utilisaient l’herbe à savon pour se laver les cheveux lorsqu’ils avaient la chance d’en avoir. Comme autre méthode, c’était l’utilisation du whisky, qui était également utilisé comme désinfectant. On le mélangeait à de l’huile de ricin pour laver les cheveux, qui étaient par la suite rincés à l’eau de pluie ou à l’eau adoucie avec du borax.
L’inévitable poussière
À l’extérieur comme à l’intérieur, la poussière était inévitable dans le Far West. Fréquentes et dévastatrices, les tempêtes de poussière recouvraient les villes entières d’épaisses couches de terre et de crasses. Sarah Raymond Herndon, auteure de récits américains et qui a voyagé du Missouri à la région du Montana dans les années 1860 cite: « Oh, la poussière, la poussière ; c’est terrible. Je ne l’ai jamais vue pareille ; ça semble être presque jusqu’aux genoux par endroits […] Quand nous nous sommes arrêtés, le visage des garçons était un régal ; ils étaient couverts de toute la poussière qui pouvait s’y coller. » La présence d’autant de poussière a bien entendu causé de graves maladies respiratoires.
L’utilité du foulard
Le foulard, l’un des aspects emblématiques de la tenue du cow-boy, était un indispensable et utilisé à une multitude de fins. Il a servi pour protéger la bouche et le nez de la poussière (tel un masque), à protéger le cou du soleil, les oreilles du froid et bien plus.
Les serviettes communes dans les saloons
Les serviettes dans les bars du Far West étaient utilisées pour essuyer la mousse de bières des bouches et barbes des clients. Ces serviettes communes étaient accessibles à tous près des comptoirs du bar. Elles étaient ainsi porteuses d’innombrables germes et de maladies.
Les toilettes extérieures, un cauchemar
Les toilettes extérieures, c’est aller dans une remise construite au-dessus d’un trou dans le sol. Lorsque le trou était plein, il était enterré. On déplaçait ensuite la structure à un autre trou. Elles attiraient toutes sortes d’insectes en raison de l’odeur. Ces toilettes étaient une façon facile d’attraper des maladies. Le papier de toilette n’existant pas, les gens se servaient de feuilles, d’épis de maïs et d’herbe.
Ne pas être malade était un miracle
Finalement, en raison des conditions insalubres des nombreuses personnes vivant dans le Far West, il était normal que les maladies affectent les établissements à la frontière américaine. Le choléra fut l’une des plus importantes et il fut dévastateur autant pour les colons que pour les Amérindiens. À l’arrivée dans un camp, Sarah Raymond Herndon racontait « Il n’y a pas du tout de maladie dans le camp ; c’est merveilleux comme nous allons très bien. J’espère que ça va continuer ainsi. »
Alors, c’est sans surprises que les habitudes d’hygiène de cette époque furent terribles. Pour en savoir davantage sur l’histoire et d’autres faits du Far West, visitez les sources ci-bas.
Traduction Libre des Habitudes d’hygiène dans le Far West
Récemment dans un article précédent, nous avions mis de l’avant un chiffon de nettoyage innovant, réutilisable, local et écologique. Dans ce billet, nous mettons à nouveau de l’avant des produits maison biodégradables de la même marque. Les deux produits maison en vedette sont un détergent à lessive en feuilles ainsi qu’une pâte nettoyante à vaisselle. Elles sont aussi écologiques à leur manière.
En premier lieu, une question à se poser pour la lessive. Comment pouvons-nous minimiser l’impact des déchets et réduire la quantité de gros contenants de plastique jetés ou recyclés d’une semaine à l’autre? C’est simple! À l’aide de 20 feuilles de détergent à lessive écologique, biodégradable et offerte dans une petite boîte compacte écoresponsable.
Emballage écoresponsable
Biodégradables
Efficaces à l’eau chaude ou froide
Pour tous types de machines à laver
Sans parabènes
Sans phosphate
Sans colorant ajouté
Sans javellisant
Sans 1,4-dioxane
Non testées sur les animaux
Les étapes simples: retirer une feuille de la boîte, mettre la feuille dans la laveuse et ajouter les vêtements. Si la brassée est petite, il n’y a qu’à déchirer une feuille en deux. Il s’agit d’une solution novatrice, biodégradable et légère qui peut vous suivre partout (à la maison comme en voyage).
En second lieu, avons-nous besoin que la formule nettoyante soit déjà dans l’eau? La majorité des produits sous le l’évier de cuisine sont composés de 70% d’eau et de seulement 30% de solution nettoyante. Cette pâte à vaisselle permet d’utiliser seulement la quantité d’eau nécessaire grâce à sa technologie innovatrice Kliin&Go. Cela facilite le nettoyage au fur et à mesure. Son utilisation est simple: frotter, laver et rincer. C’est une économie d’eau!
Dure 3x plus longtemps qu’une bouteille de liquide à vaisselle
Pouvoir dégraissant
Formule biodégradable
Formule concentrée
Format compact du contenant : Minimise l’empreinte carbone
De plus, la pâte nettoyante a d’autres utilités. Elle lave l’évier, les comptoirs, la cuisinière, le four, la hotte, les surfaces en vitrocéramique, les vitres de douches et la baignoire.
Ainsi, pour ceux et celles qui désirent avoir un choix alternatif écologique comme produits maison biodégradables, gardez ceux-ci en tête!
L’histoire du mercredi, 29 juin 2022, c’est celle de l’une des pires pandémies de l’histoire, soit la peste noire! Cette pandémie de peste a atteint l’Europe en 1346 par le bassin méditerranéen via des navires transportant des marchandises depuis la Mer noire. À bord de ses navires, outre la cargaison et les passagers, il y avait des petits clandestins: des rats noirs infestés de puces porteurs de la peste bubonique. Et ainsi, l’un des agents pathogènes les plus meurtriers a été libéré aux ports de l’Europe. Rapide et fatale, les conséquences furent: maladie, souffrance et mort à une échelle cataclysmique. Jusqu’à 60% de la population d’Europe, du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord a été tué en huit ans par la mort noire.
L’identification de l’agent pathogène responsable de la maladie
Premièrement, en 1894, l’agent pathogène responsable de la maladie a été découvert par les bactériologistes Kitasato Shibasaburo et Alexandre Yersin. Ils ont découvert simultanément le bacille de la peste, bactérie de forme allongée dite « en bâtonnet ». Ils l’ont baptisé Yersinia pestis, une bactérie que transportent les puces proliférant sur les rats et autres petits rongeurs. Les bacilles se multiplient dans l’intestin de la puce. En mordant son hôte, la puce régurgite les bacilles dans le corps de ce dernier pour l’infecter. Et normalement, ça se produit dans un cycle fermé entre les puces et les rongeurs. La bactérie se propage à un rythme tel qu’elle tue ses hôtes rongeurs. Cela avait forcé les puces à trouver de nouveaux hôtes, soit les hommes. L’infection se propageait facilement. Les rats étaient attirés par l’activité humaine, et particulièrement par les vivres conservés dans les granges, moulins et maisons.
Les symptômes
Puis, les symptômes de la peste noire. La période d’incubation était très longue, variant entre 16-23 jours avant l’apparition des premiers symptômes. Trois à cinq jours plus tard, la victime en mourrait. C’était trop tard lors de la compréhension de la cause du décès et de la pleine conscience du danger.
Les nodules du système lymphatique des patients étaient affectés, provoquant des gonflements de l’aine et des aisselles. Ces symptômes initiaux s’accompagnaient de vomissements, de maux de tête et d’une fièvre très élevée faisant trembler les malades.
3 formes de la peste noire
En premier, la peste bulbonique comme forme plus courante de la peste noire. La glande lymphatique était enflammée et largement connue sous le nom de bubon. Cela a donné naissance au terme de peste bubonique.
En deuxième, la peste septicémique, comme l’une des autres variantes de la peste. Elle infectait le sang de la victime, provoquant des taches visiblement noires sous la peau. C’est probablement ce qui a sans doute donné son nom à la peste noire.
En troisième, la peste pulmonaire affectait le système respiratoire, faisant tousser la victime. Cela facilitait d’autant l’infection par projection de gouttelettes. Dans la période médiévale, les pestes septicémique et pneumonique avaient un taux de mortalité de 100%.
L’origine exacte de la peste noire
Enfin, l’origine de la pandémie de la peste noire. Selon une étude mettant fin à près de sept siècles de questionnements, elle aurait émergé en Asie centrale au Kirghizistan. Les chercheurs ont pu remonter à la source grâce à l’extraction de l’ADN humain ancien depuis un site funéraire du XIVe siècle dans le nord du Kirghizistan. Sur plus de 400 pierres tombales de ce site funéraire, une centaine datait précisément de 1338-1339. Avec une épitaphe mentionnant « mort de pestilence« , en ancien syriaque. Phil Slavin, l’un des auteurs de l’étude et professeur à l’Université de Stirling connaissait l’existence de deux sites funéraires médiévaux. Ces sites funéraires situés près du lac d’Issyk Kul au Kirghizistan avaient été fouillés à la fin du XIXe siècle.
Les chercheurs ont fouillé dans l’ADN dentaire de sept squelettes afin de trouver la cause des décès. Une des auteurs de l’étude, Maria Spyrou de l’Université de Tübingen en Allemagne, explique: « La pulpe dentaire est une source précieuse, car c’est une zone très vascularisée qui donne une forte chance de détecter des pathogènes dans le sang« . L’ADN avait été séquencé, puis comparé à une base de données contenant le génome de milliers de bactéries. Le Verdict: les corps étaient infectés par la bactérie Yersinia pestis, le bacille responsable de la peste noire, transmise à l’homme par les puces des rongeurs.
Cette communauté avait donc bien été victime du même fléau qui a frappé l’Europe quelques années plus tard. Les analyses du génome de Yersinia pestis ont également révélé qu’il s’agissait d’une souche ancestrale de la bactérie. C’était celle qui se trouve à la base de « l’arbre génétique » de la peste. Cette communauté chrétienne, ethniquement diversifiée (Mongols, Ouïghours…) pratiquait le commerce au long-cours. Phil Slavin avance : « Vivant au cœur des routes de la soie, ils ont dû beaucoup voyager, ce qui a joué un rôle dans l’expansion de l’épidémie via la Mer noire. »