Hyperquat, un nettoyant désinfectant pour les masques réutilisables!

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Connaissez vous l’Hyperquat, un nettoyant désinfectant neutre de 5e génération non parfumé par Lalema? Il a été testé et reconnu efficace par 3M comme une solution de nettoyage et de désinfection des masques réutilisables 3M™ Scott™.

Hyperquat format 4L – Nettoyant désinfectant neutre de 5e génération

L’Hyperquat

En effet, ce désinfectant quaternaire neutre de 5e génération non parfumé est très concentré. C’est pourquoi un système de dilution est ainsi recommandé (voir l’Hyperquat en format Twist & Mixx).

Hyperquat format Twist & Mixx et le proportionneur Twist & Mixx

De plus, n’étant pas parfumé (ni coloré), le produit est particulièrement recommandé pour les gens sensibles aux odeurs tels que certains patients se relevant d’une opération.

Enfin, ce nettoyant à base d’ammonium quaternaire est efficace contre une vaste gamme de micro-organismes.

Il est donc idéal pour les travaux quotidiens dans les établissements de soins de santé et les installations alimentaires.

Les tests sur les masques 3M™ Scott™

Hyperquat a été évalué pour une utilisation dans des conditions d’utilisation normales sur les masques réutilisables 3M™ Scott™.

Les modèles de masques testés sont les suivants: 3M Scott AV-2000 Facepiece, 3M Scott AV-3000 Facepiece, 3M Scott AV-3000 with SureSeal™ Facepiece, 3M Scott AV-3000 HT Facepiece et 3M Scott Weld-O-Vista Facepiece.

Masque respiratoire réutilisable 3M Scott AV-2000

Ces tests de nettoyage ont été complétés aux concentrations, aux temps d’attente et aux instructions suggérés par Lalema. Les composants des respirateurs n’ont pas été endommagés par le nettoyant désinfectant Hyperquat.

Lalema durant la période de pandémie

Lalema est un service essentiel tel que décrété par le gouvernement en tant que manufacturier de produits sanitaires. Nos effectifs sont donc actifs afin de contenir la propagation du virus!

Courage à tous! Continuez de vous laver les mains et de respecter la distanciation sociale! Ça va bien aller!

Pour en savoir davantage sur l’Hyperquat ou si vous avez toutes autres questions, visitez le site web de Lalema.

Venez explorer notre gamme de produits nettoyants désinfectants!

Le COVID-19 et les mesures préventives.

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Le 2019-nCoV fait la une dans les manchettes ces jours-ci. Qu’est-ce que le 2019-nCoV et quelles sont les mesures préventives? À ce jour, on ne comprend pas entièrement le potentiel pathogène et la dynamique de transmission de ce nouveau coronavirus 2019.

Masque respiratoire comme mesure préventive 2019-nCoV
Jeune femme avec masque respiratoire

Qu’est-ce que c’est?

Grosso modo, il fait partie de la famille des coronavirus. Il présente « 80% de similarités » avec le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) qui avait fait des centaines de morts en 2003. Ce virus ne se propage pas aussi bien que l’influenza et il n’évolue pas très rapidement. Les symptômes sont les mêmes que la majorité des cas de grippe: fièvre, toux, douleurs musculaires, essoufflement et difficultés respiratoires.

En décembre dernier, le coronavirus est apparu à Wuhan, une ville située au centre de la Chine. Les villes de Wuhan et Huanggang ont été placées en quarantaine. Jusqu’à présent, il a fait 17 morts en Chine et des centaines de personnes en sont atteintes. Ce virus a également été détecté à Taïwan, au Japon, en Thaïlande et en Corée du Sud. Afin de limiter sa propagation, des mesures sont prises dans plusieurs pays. L’OMS (l’organisation mondiale de la santé) se demande si ce virus doit être déclaré une urgence internationale.

Wuhan 2019-nCoV
Tour de la grue Jaune à Wuhan

Quelles sont les mesures préventives?

Brièvement, voici des mesures préventives quant au 2019-nCoV. Telles que suggérées par l’OMS, voici des stratégies de la prévention et du contrôle de l’infection associées aux soins de santé lorsque l’on suspecte un cas de nCoV:

  1. La détection précoce et contrôle de la source
    – Encourager les travailleurs et les gestionnaires en soin de santé d’avoir un niveau élevé de suspicion clinique
  2. Application des précautions standards pour tous les patients
    – Veiller à prendre les mesures d’hygiène respiratoire en offrant un masque médical en cas de suspicion d’infection du nCoV pour ceux pouvant le tolérer
    – Se couvrir le nez et la bouche en toussant ou en éternuant dans un mouchoir ou un coude fléchi
    Se laver les mains après tout contact avec des sécrétions respiratoires
    – Porter des équipements de protection individuelle
    – Suivre les procédures de nettoyage et de désinfection de l’environnement de manière cohérente et correcte.
  3. La mise en œuvre de précautions supplémentaires empiriques
    – Porter un respirateur contre les particules au moins aussi protecteur qu’un respirateur certifié NIOSH N95, EU FFP2 ou équivalent
    – Porter une protection oculaire (des lunettes de protection ou un écran facial)
    – Utiliser des combinaisons à manches longues propres et non stériles
    – Utiliser des gants et éviter tout contact aux yeux, au nez ou à la bouche avec des mains potentiellement contaminées
    – Employer des équipements jetables ou des équipements dédiés à désinfecter après chaque utilisation
  4. Contrôles administratifs
    – Assurer de mettre en place des infrastructures et des activités durables de la prévention et du contrôle des infections
    – Offrir une formation et une éducation aux travailleurs de la santé ainsi qu’aux patients
  5. Contrôles environnementaux et techniques 
    – Assurer une ventilation adéquate et un nettoyage adéquat de l’environnement.

Ainsi, n’hésitez pas à nous contacter pour vos besoins et questions quant à nos produits ou nos formations sur l’hygiène.

Pour plus de détails quant au 2019-nCoV, consulter les sources suivantes:
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1482141/coronavirus-chine-questions-reponses
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1486752/coronavirus-chine-villes-quarantaine-transports
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1482961/coronavirus-virus-chine-asie
https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-nCoV/lab-biosafety-guidelines.html

Les trois D du contrôle des infections

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Les gestionnaires d’immeubles, en particulier dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de la restauration, en apprennent beaucoup sur les agents pathogènes cachés grâce aux nouvelles technologies d’imagerie 3D maintenant disponibles en Amérique du Nord.

Image 3D

Essentiellement, ces systèmes créent une carte indiquant l’emplacement et les quantités d’agents pathogènes sur une surface. Avec cet apprentissage, ce qui a évolué est la « 3D » du nettoyage pour aider à prévenir la propagation des infections , selon un communiqué de presse de la société de technologie de prévention des infections, Optisolve.

Images en 3D

«Les images en 3D font référence aux trois défis clés que doivent gérer les gestionnaires de bâtiments pour aider les utilisateurs de bâtiments à rester en bonne santé, déclare le directeur général d’Optisolve, Brad Evans.

Selon Evans, les 3D se réfèrent à ce qui suit:

Détecter

La première étape pour garder les utilisateurs en santé est de localiser les agents pathogènes mettant en danger la santé.

Désinfecter

Une fois localisées, ces surfaces doivent d’abord être nettoyées, puis désinfectées.

« Comme avec les moniteurs ATP, les technologies d’imagerie ne peuvent pas déterminer quels agents pathogènes sont présents », explique Evans. « En conséquence, des désinfectants » à large spectre « ou » à large spectre « qui tuent un grand nombre d’agents pathogènes devraient toujours être utilisés. »

Discuter

Si des agents pathogènes sont situés sur un rebord de fenêtre, par exemple dans une salle de classe, ces informations doivent être discutées et partagées avec les administrateurs de l’école et tous les professionnels du nettoyage de l’établissement.

« Malheureusement, lorsque les technologies d’imagerie mettent en évidence une surface potentiellement contaminée, les administrateurs et les professionnels du nettoyage pensent souvent que le problème se limite à cette zone spécifique », déclare Mme Evans. « Dans de nombreux cas, cependant, si une zone spécifique est contaminée, problème dans des zones similaires de l’installation « .

Traduction libre: https://www.cleanlink.com/news/article/The-Three-Ds-Of-Infection-Control–24664

De 3D à 4D -> Découvrez

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Candida auris : Une nouvelle menace ?

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Candida auris

Après la venue des infections contractées en milieu hospitalier comme la bactérie C. difficile ou le SARM (Staphylococcus Aureus Résistant à la Méticilline), une autre super bestiole semblerait faire son entrée sur la scène des microorganismes difficile à traiter. Cette fois-ci c’est le tour d’un champignon : Candida auris.

Ce champignon, ou plus précisément une levure, a d’abord été découvert par les scientifiques en 1996. Puis, un premier cas d’infection humaine a été rapporté au Japon en 20091,2. À ce jour, Candida auris a été détecté dans les hôpitaux de plus de 20 pays dont les États-Unis, l’Angleterre et plusieurs pays d’Europe. Le premier cas au Canada a été rapporté en 20173.

Candida auris pose une menace particulière en raison des caractéristiques suivantes4 :

  • Les infections causées par cet organisme provoquent un haut taux de mortalité.
  • Le microorganisme est résistant aux antifongiques.
  • Le microorganisme est actuellement difficile à identifier par les laboratoires de microbiologie clinique résultant en un diagnostic erroné. L’identification est importante pour le choix d’antifongiques à utiliser pour le traitement des patients.
  • Le microorganisme est reconnu pour sa virulence.
  • Le microorganisme colonise les surfaces comme les cathéters utilisés pour les soins.

Parmi les précautions recommandées par les gouvernements canadien et américain la désinfection des surfaces occupe une place importante. Toutefois, certains désinfectants sont à éviter : c’est notamment le cas des désinfectants à base d’ammonium quaternaire qui sont inefficaces 5. La procédure suivante est plutôt proposée :

« Les établissements de santé qui ont des patients infectés ou colonisés par C. auris doivent s’assurer d’effectuer un nettoyage et une désinfection quotidiens et finaux des chambres de ces patients avec un désinfectant hospitalier efficace contre les spores de Clostridium difficile. »6

Les désinfectants à base d’hypochlorite de sodium sporicide contre la C. difficile sont par exemple de bons désinfectants pour prévenir et contrôler les transmissions par contact de Candida auris. En sommes, les scientifiques débutent seulement à comprendre et à étudier ce microorganisme qui n’a été découvert que récemment. Davantage d’études permettront de découvrir des traitements efficaces.

D’ici ce temps, besoin de produits sporicides contre la C. Difficile pour être prêt à faire face à Candida auris ? Procurez-vous nos produits dès maintenant !

[Mise à jour 2019-04-10] Écoutez l’entrevue du Dr. Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l’Hôpital général juif à Montréal par Paul Houde sur les ondes du 98.5FM:

Références:

 1) LeeWG, Shin JH, Uh Y, Kang MG, Kim SH, Park KH, et al., (2011), First three reported cases of nosocomial fungemia caused by Candida auris. J Clin Microbiol, 49:3139-3142.

2) Satoh K, Makimura K, Hasumi Y, Nishiyama Y, Uchida K, Yamaguchi H., (2009), Candida auris sp. nov., a novel ascomycetous yeastisolated from the external ear canal of an inpatient in a Japanese hospital. Microbiol Immunol., 53:41-44.

3) Schwartz IS, Hammond GW., (2017), Premier cas de Candida auris multirésistant au Canada. Relevé des maladies transmissibles au Canada., 43(7/8):168-72.

4) Anuradha Chowdhary, Cheshta Sharma et Jacques F. Meis., (2017), Candida auris : A rapidly emerging cause of hospital-acquired multidrug-resistant fungal infections globally, PLoS Pathogens, 13(5):e1006290

5) Institut National de Santé Publique du Québec, (Janvier 2018), Mesures de prévention et de contrôle dans les milieux se soins, Comité sur les infections nosocomiales du Québec, 2377 :1-11

6) Relevé des maladies transmissibles au Canada, (juillet 2017), Premier cas de Candida auris déclaré au Canada, Agence de santé publique du Canada, 43-7/8

Impact des interventions de nettoyage en santé

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Doll, et al. (2018) a effectué une revue de la littérature concernant le nettoyage, l’hygiène et la salubrité (environmental cleaning) dans un environnement hospitalier. Il note:

📷 Martha Dominguez de Gouveia on Unsplash

Malgré les preuves de la transmission d’organismes infectieux de l’environnement au patient, le rôle d’un environnement sain dans la prévention en milieu hospitalier demeure controversé. On ignore dans quelle mesure la contamination de l’environnement contribue aux infections associées aux soins de santé.

Le nettoyage des surfaces ne se substitue certainement pas à d’autres pratiques de contrôle des infections, telles que le lavage des mains, la limitation de l’utilisation des dispositifs médicaux, le port de la blouse ou de gants, le cas échéant.

Cependant, les efforts continus visant à réduire la charge microbienne globale de l’environnement hospitalier via le nettoyage constituent probablement la base d’autres efforts; Des niveaux plus bas d’organismes infectieux sur les surfaces se traduisent par une contamination moindre des mains des travailleurs de la santé et des objets de soins des patients lorsqu’ils entrent en contact avec l’environnement hospitalier.

Essentiellement, toute la littérature relative à l’optimisation du nettoyage de l’environnement dans les systèmes de santé provient de pays disposant de ressources relativement abondantes.

Dans les établissements de santé dotés de ressources limitées, des problèmes supplémentaires peuvent contribuer au nettoyage inadéquat. Les normes minimales en matière de santé environnementale décrites dans les Normes essentielles de santé environnementale en matière de santé de l’Organisation mondiale de la Santé concernant les centres de santé disposant de ressources limitées décrivent l’eau potable, la gestion des déchets et mettent l’accent sur la poussière et les saletés visibles comme mesures temporaires essentielles pour protéger les patients.

Une comparaison de ces normes minimales avec d’autres recommandations publiées en matière de nettoyage de l’environnement met en évidence une disparité frappante dans les conditions de l’environnement hospitalier entre les différentes régions du monde.  

Enfin, les chercheurs ont aussi ajouté:

L’environnement hospitalier peut être une source d’infections nosocomiales et les méthodes de nettoyage actuelles ne parviennent que partiellement à atténuer ce risque. Cependant, on ignore dans quelle mesure l’environnement contribue à la transmission de l’infection et le niveau de propreté requis pour empêcher l’acquisition d’organismes provenant de l’environnement.

L’amélioration du processus de nettoyage a suscité un vif intérêt ces dernières années et les publications mettent en avant diverses stratégies pour y parvenir. Cependant, les problèmes fondamentaux ne sont pas résolus. Il est urgent de relever les défis auxquels sont confrontés les préposés à l’hygiène et salubrité (Bernstein et al., 2016) et de maximiser les avantages des efforts de nettoyage manuel.

Une approche du nettoyage à plusieurs niveaux, adaptée aux besoins et aux ressources spécifiques des centres de santé, serait mieux définie avec une représentation plus large de la communauté des soins de santé mondiale dans les études publiées.

Les facteurs humains détermineront en fin de compte la qualité du nettoyage de l’environnement à l’hôpital et resteront la meilleure défense du patient contre les menaces invisibles provenant de l’environnement hospitalier.

Nettoyage assisté par un outil de gestion

Un outil est un outil. Une maison ne se construit pas toute seule avec un marteau, il faut le charpentier. Pour l’entretien sanitaire, c’est pareil. Un logiciel de route de travail ne fait pas le travail, mais ça peut vous aider à mieux travailler.

C’est pourquoi nous avons créé Sanitek,  outil de gestion par excellence
pour générer rapidement et simplement un bon devis d’entretien et des routes de travail en hygiène et salubrité équilibrées. Contactez-nous pour plus d’information.

Source: 
https://www.infectioncontroltoday.com/environmental-hygiene/environmental-cleaning-round-reports-medical-literature

Doll M, Stevens M and Bearman G. Review: Environmental cleaning and disinfection of patient areas. International Journal of Infectious Diseases. Vol. 67, Pages 52-57. February 2018.

Les pratiques d’hygiène environnementale dans le monde

Temps de lecture : 2 minutes

Kenters, et al. (2018) a évalué différentes pratiques d’hygiène environnementale d’établissements de soins de santé à travers le monde. Le questionnaire de 30 questions était rempli par des prévisionnistes (68%), des médecins en maladie infectieuse (13%), des microbiologistes cliniques (6%), des gestionnaires de bâtiments (2%) ou d’autres professionnels de la santé (11%). 23 pays ont participé au sondage.

Politiques écrites

  • 96% des établissements ont des politiques de nettoyage écrites
  • 82% des établissements ont des politiques écrites pour les équipements cliniques partagés
  • 90% des établissement ont des politiques écrites pour les salles d’opérations.

Responsabilités de tâches

Qui est responsable d’effectuer les tâches de nettoyage:

  • 57% personnel du centre de soins de santé
  • 34% sous-traitants
  • 9% partagés

Au Québec, le pourcentage de travail effectué par le personnel en régie interne serait plus élevé.

Pratiques sur les étages de soins

Qui est responsable d’effectuer les tâches de nettoyage sur les étages de soins (excepté dans les chambres chambre de patients)

  • 82% par le personnel dédié en hygiène et salubrité
  • 14% par les personnel de soins
  • 4% partagés

Nettoyage et désinfection des petits équipements (partagés)

Qui est responsable d’effectuer les tâches de nettoyage et de désinfections des petits équipements (partagés)

  • 89% par les personnel de soins
  • 41% par le personnel dédié en hygiène et salubrité
  • 20% médecins
  • 23% autres

Formation

Parmi les établissements sondés:

  • 70% donne de la formation à l’embauche
  • 46% donne de la formation annuellement
  • 15% donne de la formation 2X par année
  • 20% donne de la formation sporadique

Nettoyage et désinfection des chambres

Parmi les établissements sondés:

  • 92% effectue un nettoyage quotidien
  • 2% effectue un nettoyage bi-hebdomadaire
  • 2% effectue un nettoyage hebdomadaire
  • 4% effectue un nettoyage à une autre fréquence (2X par jour ou pas de routine)

Surfaces à haut potentiel de contamination

Pour les surfaces à haut potentiel de contamination (« high touch ») tels la table de lit, la télécommande, etc.) :

  • 92%effectue un nettoyage quotidien
  • 1% effectue un nettoyage bihebdomadaire
  • 2% effectue un nettoyage hebdomadaire
  • 5% effectue un nettoyage à une autre fréquence

Précautions additionnelles

Le nettoyage et la désinfection en présence d’un patients en précaution « contact » varie:

  • 15% ne font aucun nettoyage ou désinfection additionnel
  • 31% font un nettoyage et une désinfection additionnel en cas d’éclosion seulement
  • 19% font une désinfection additionnelle au nettoyage régulier
  • 26% font un nettoyage et une désinfection additionnelle au nettoyage régulier

Contrôle de la qualité

47% des établissements se fient à une inspection visuelle pour contrôler la qualité.

Comment corriger la situation?

Vous avez besoin d’un coup de main? Notre suite logiciel SANITEK et notre équipe de services-conseils peuvent vous aider. Contactez-moi à glanthier@lalema.com

Source: ICT, Informa Exhibitions LLC, Septembre 2018. p.12

Surfaces vétustes et leurs implications pour les établissements de santé

Temps de lecture : 2 minutesLa prévention et le contrôle de la propagation des contaminants et des infections revêtent une très grande importance pour les établissements de santé, et il est permis de dire que de nombreuses mesures ont déjà été prises pour atteindre ces objectifs. Cependant, comme beaucoup de choses, il y a encore beaucoup de place pour l’amélioration surtout quand il s’agit de surfaces vétustes.

surfaces vétustes corridor-hopital-lalema

Évidemment, les établissements de santé utilisent une grande variété d’équipements, des moniteurs aux instruments chirurgicaux, en passant par les outils de nettoyage, et au fil du temps, ces équipements s’usent. Parfois, l’équipement se brisera complètement et sera inutilisable, mais parfois il n’y aura que quelques égratignures ou autres petits dégâts. Mais que se passe-t-il lorsque ces rayures ou autres formes de dommages deviennent des abris et des zones de croissance pour les micro-organismes? Ceci est un exemple de la façon dont les dommages aux surfaces vétustes peuvent non seulement favoriser la croissance des bactéries, mais aussi fournir aux micro-organismes un endroit propice pour se développer.

Que sont les surfaces vétustes?

Selon Infection Control Today, les surfaces vétuste (damage surface) sont définies comme suit:

un changement physique ou chimique quantifiable par rapport à l’état fabriqué d’origine d’un objet (surface ou dispositif).

Bien qu’il soit reconnu que les dommages subis par les équipements médicaux constituent une menace potentielle pour la propagation des bactéries dans les établissements de santé, il n’existe aucune méthode normalisée permettant aux professionnels de la santé de déterminer ce qui est considéré comme un dommage suffisant pour déclencher la propagation des bactéries.

Vos surfaces sont-elles endommagées?

Chez Lalema, nous parlons souvent d’hygiène et de propreté mais nous offrons également une vaste gamme de services techniques et de consultation. En savoir plus.

Vous pouvez également lire un extrait du livre 16 principes en hygiène et salubrité de mon collègue Gaétan Lanthier.

Source: Contrôle des infections aujourd’hui. Vol. 21. No 12. Janvier 2018.