Le nettoyage a longtemps été une affaire de « visuel ». Une odeur fraîche de propreté et une absence de tache ou de résidu suffisaient pour définir qu’un lieu était propre. Cela dit, dans un environnement du bureau ou une salle de classe cela demeure généralement un bon indice de la propreté.
Mais nous savons également que les microbes (bactéries ou virus), invisibles à l’oeil nu, présentent un risque pour la transmission des infections. Prenez l’exemple du virus de la grippe, il peut survivre jusqu’à 48 heures sur une surface dure!
Sans procédure de désinfection établie ou un programme de contrôle de la qualité, les microbes peuvent donc survivre en milieu hospitalier.
3 facteurs-clés doivent être considérés pour effectuer une analyse du risque infectieux:
- Le patient est-il porteur d’un agent pathogène? L’agent pathogène est classé selon sa capacité de propagation et sa virulence. Le choix d’un nettoyant-désinfectant en découlera également.
- Les activités fonctionnelles du secteur représentent-elle un risque de transmission des infections par l’environnement? Ex. Services alimentaires, Bureaux, Soins intensifs, etc.
- L‘intensité du contact est une fonction de l’achalandage des lieux et des surfaces les plus susceptibles d’être touchées. Ex: Robinetterie
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Sources:
Le nettoyage dans les hôpitaux du 21e siècle par le Dr. Stephanie J. Dancer, Medical, Microbiology, Hairmyres Hospital, UK paru dans la revue Le Nettoyage professionnel, Juillet/Août 2012.
Hygiène et salubrité en milieux de soins – Démarche pour le développement de stratégies d’entretien des surfaces, MSSS, 2010, 52 pages.