Ce qu’il faut pour ramener le soleil et la chaleur

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soleilC’est juste parce qu’il fait encore froid que j’ai l’idée de vous présenter des produits qui vont peut-être faire ressortir le soleil et la chaleur!

Rien de bien scientifique, juste de quoi se mettre sous la dent avant que l’été arrive, pour vrai.

  • Un nettoyant pour taches d’encre pour effacer toute les prévisions météorologiques non-favorables.
  • Un générateur de vapeur: avec ça on pourrait essayer de réchauffer l’atmosphère.
  • Une brosse qui résiste à la chaleur si jamais l’été s’emballe.
  • Un nettoyant-dégraissant aux couleurs du soleil, parce que le jaune et le citron: ça fait été!
  • Une combinaison qui permet à la chaleur de mieux s’échapper car la santé et sécurité c’est important.

montage-soleil

Bonne semaine!

 

 

La santé au bout de vos doigts

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chiffon wypall kimberly clark

Depuis la pandémie de H1N1 en 2009, on a jamais autant insisté sur le lavage des mains! Il existe cependant une source de contamination bien réelle et souvent négligée : les chiffons d’atelier réutilisables.

Une étude réalisée en 2003 et 2011 par la firme Gradient pour le compte de Kimberly Clark a démontré que l’utilisation de chiffons d’atelier réutilisables peut augmenter l’exposition du travailleur à plusieurs métaux lourds (plomb, cuivre, cobalt, cadmium, béryllium) jusqu’à 3 500 fois la norme de toxicité*.

Même si l’échantillonnage est faible, la présence de contaminants a été détecté dans 100 % des échantillons. Le seul fait que des chiffons fraîchement lavés contiennent encore des contaminants peut soulever des questionnements.

Quelles sont les solutions possibles?

  • Donner de la formation aux travailleurs (par exemple: ne pas manger sur les lieux de travail ou ne pas s’essuyer le visage avec des chiffons d’atelier).
  • Déterminer votre niveau d’acceptabilité du risque. (Est-ce que vous travaillez dans l’industrie alimentaire, pharmaceutique ou automobile?)
  • Utiliser des chiffons d’atelier jetables
    • Procéder à une analyse comparative du coût (vous pourriez être étonné!)
    • Obtenir une performance accrue
    • Choisir le maximum de contenu recyclé

Ce court vidéo vous montre un exemple d’absorption

Visitez notre portail d’information sur ce sujet.

 

* Source: Étude par GradientSite web The dirt on shop towels

 

Histoire du Mercredi : Kimberly Clark

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Dans un village de 200 âmes à l’époque, à Neenah au Wisconsin U.S. le 26 mars 1872, cinq jeunes hommes décident de fonder une entreprise qui fabriquerait du papier journal de la plus haute qualité, entièrement faits de guenilles de textile et de coton.  Ils se basent sur quatre principes fondamentaux :

  1. Fabriquer le meilleur produit possible;
  2. Servir les clients de façon juste et équitable afin de gagner leur confiance;
  3. De bien prendre soin de leurs employés;
  4. Prendre de l’expansion lorsque requis et financer ces projets à même les profits de l’entreprise.

Les partenaires

Fondateurs Kimberly Clark

Crédit: Kimberly Clark

Charles Benjamin Clark, né à Theresa, N.Y., le 24 août 1844, ancien capitaine d’infanterie, est co-propriétaire d’une quincaillerie. Marié et père de 3 enfants, il investit 10 000 $ à l’âge de 28 ans, lors du démarrage de la compagnie.

John Alfred Kimberly, fils du célèbre homme d’affaires du Wisconsin, John Robbins Kimberly, achète en 1858 le magasin général de son père, à l’âge de seulement 19 ans, conjointement avec Havilah Babcock (20 ans) fils d’un charpentier et fermier du Vermont marié à la cousine de John Alfred. Les deux investiront chacun 5 000 $ dans l’entreprise.

Frank C. Shattuck, originaire de Coleraine au Massachusetts 34 ans en 1872 fut approché pour combler le  5 000 $ requis au démarrage. Vendeur de profession, il avait développé une approche invitante qui incitait les commerçants à acheter leurs produits.

Un cinquième partenaire, George A. Whithing, apparait au registre original comme investisseur pour la somme de 5 000 $ mais fut rapidement écarté du projet, car il voulait jouer un rôle dominant. Il devient opérateur d’une usine à papier qui fut achetée par Kimberly Clark, plusieurs années plus tard.

Deux ans plus tard, le 8 août 1874, l’entente est révisée et chacun des quatre hommes deviennent partenaires égaux avec chacun 25 % de parts dans la compagnie Kimberly, Clark & Co.

P.S. : Merci à Richard Lalancette pour le texte tiré d’un livre sur les origines de l’entreprise.

La semaine prochaine: Cascades

Histoire du Mercredi

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archivesJe sais, on est mardi! Ça commence demain!

Nous avons pensé de vous présenter une série de billets sur l’origine des noms de nos partenaires. Ce n’est pas un cours d’histoire mais nous allons essayer de vous apprendre des faits intéressants ou cocasses sur l’origine de ces entreprises.

Nous espérons ainsi vous divertir et vous informer. Pour ne rien manquer de ces publications, n’oubliez pas de vous inscrire au blog. Pour cela, rien de plus simple que d’inscrire votre courriel dans la colonne de gauche. Un courriel de confirmation vous sera envoyé qu’il vous faudra valider en cliquant sur le lien. Nous utilisons « feedburner » un service de Google pour gérer notre liste d’abonnement au blog. C’est sécuritaire et nous ne partagerons pas votre courriel avec d’autres. Promis!

Alors dans cette foulée et sans ordre en particulier (sujet à changement):

Si vous avez vous-même des anecdotes, des photos, des vidéos avec les produits de ces entreprises, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Nous pourrions les inclure…