La vie à Londres au 19e siècle

Temps de lecture : 2 minutes
londres, 1890
Piccadilly Circus, Londres, Angleterre entre 1890 et 1900

La dernière fois que vous vous êtes brossé les dents, que vous avez arrosé vos plantes ou que vous vous êtes servi un bon verre d’eau fraîche du robinet, vous êtes-vous arrêté un instant pour penser que vous aviez accès instantanément à une eau salubre?  Pour comprendre comment cette merveille a été créée, il faut remonter au début du XIXe siècle à Londres.

Le progrès rend parfait

À cette époque, les rues de Londres étaient pleines de déchets et d’excréments, et les rivières de la ville étaient très polluées. Toute cette saleté et cette misère n’était pas qu’une nuisance pour les narines des Londoniens. C’était carrément mortel.

Des épidémies de choléras à Londres

Les rivières contaminées étaient particulièrement dangereuses. Par exemple, entre 1848 et 1854, plusieurs cas de choléra ont éclaté à Londres, faisant des milliers de morts. Personne ne savait ce qui l’avait causé.

Mais il y a eu une percée médicale soudaine. Un médecin , le Dr. John Snow (aucun lien avec la série populaire) cartographiait la propagation de la maladie à travers la ville, il a réalisé que l’une des sources de l’épidémie était une compagnie de distribution d’eau qui distribuait l’eau collectée en aval des exutoires. Il a compris que pour stopper la propagation du choléra l’un devait améliorer l’approvisionnement en eau.

Une révolution dans la gestion de l’eau

La découverte de Snow a mené à une révolution dans l’assainissement. Peu de temps après, des systèmes sophistiqués d’eau propre ont été introduits, suivis par la filtration et la chloration. Avec chacune de ces améliorations, la qualité et la sécurité de l’eau se sont améliorées.

Extrait et traduction libre: Progress par Johan Norberg

Une trousse de prévention contre le rhume et la grippe

rhume

Avec la saison des virus qui est maintenant, tout le temps (!), assurez-vous d’avoir pour vos usagers l’essentiel. Consultez notre trousse spécialement conçu pour vous aider! Mettez-la dans votre panier en 1 seul clic!

Imaginez vivre à Londres au 19e siècle

Temps de lecture : 2 minutes
londres, 1890
Piccadilly Circus, Londres, Angleterre entre 1890 et 1900

La dernière fois que vous vous êtes brossé les dents, que vous avez arrosé vos plantes ou que vous vous êtes servi un bon verre d’eau fraîche du robinet, vous êtes-vous arrêté un instant pour penser que vous aviez accès instantanément à une eau salubre?  Pour comprendre comment cette merveille a été créée, il faut remonter au début du XIXe siècle à Londres.

Le progrès rend parfait

À cette époque, les rues de Londres étaient pleines de déchets et d’excréments, et les rivières de la ville étaient très polluées. Toute cette saleté et cette misère n’était pas qu’une nuisance pour les narines des Londoniens. C’était carrément mortel.

Des épidémies de choléras à Londres

Les rivières contaminées étaient particulièrement dangereuses. Par exemple, entre 1848 et 1854, plusieurs cas de choléra ont éclaté à Londres, faisant des milliers de morts. Personne ne savait ce qui l’avait causé.

Mais il y a eu une percée médicale soudaine. Un médecin , le Dr. John Snow (aucun lien avec la série populaire) cartographiait la propagation de la maladie à travers la ville, il a réalisé que l’une des sources de l’épidémie était une compagnie de distribution d’eau qui distribuait l’eau collectée en aval des exutoires. Il a compris que pour stopper la propagation du choléra l’un devait améliorer l’approvisionnement en eau.

Une révolution dans la gestion de l’eau

La découverte de Snow a mené à une révolution dans l’assainissement. Peu de temps après, des systèmes sophistiqués d’eau propre ont été introduits, suivis par la filtration et la chloration. Avec chacune de ces améliorations, la qualité et la sécurité de l’eau se sont améliorées.

Extrait et traduction libre: Progress par Johan Norberg

Une trousse de prévention contre le rhume et la grippe

rhume

Avec la saison des rhumes et de la grippe qui approche, assurez-vous d’avoir pour vos usagers l’essentiel. Consultez notre trousse spécialement conçu pour vous aider! Mettez-la dans votre panier en 1 seul clic!

Avis d’ébullition de l’eau à Montréal: 16 faits intéressants sur l’eau

Temps de lecture : 3 minutesEau potableLe 22 mai 2013, la ville de Montréal a émis un avis important d’ébullition de l’eau en raison de travaux de «mise à niveau» de l’usine de filtration Atwater, dans l’arrondissement du Sud-Ouest (La Presse).

Assurez-vous de boire de l’eau préalablement bouillie pendant au moins 1 minute (selon la Ville de Montréal au moment d’écrire ces lignes). En cas de doute, consultez le site officiel de la  Ville de Montréal ou communiquez avec le 3-1-1.

J’ai contacté l’école de mes enfants, toutes les mesures appropriées ont été mis en place ce matin et je les félicite pour leur promptitude! C’est rassurant de voir une équipe agir avec rapidité et efficacité!

En après-midi, plusieurs arrondissements additionnels ont été ajoutés à la liste des secteurs visés par cet avis (voir la liste sur le site de TVA).

Voici une présentation de Radio-Canada sur les étapes à suivre pendant l’avis d’ébullition de l’eau à Montréal du 22 mai 2013. Cet avis sera en vigueur pendant au moins 24 heures 36 heures.

[L’AVIS A ÉTÉ LEVÉ LE 23 MAI 2013 VERS 22h15 (source) ]

.

Pour compléter ce billet, j’ai déniché sur le site d’Environnement Canada, 16 faits intéressants sur l’eau:

  1. Les lacs et les cours d’eau ne permettent de stocker que 0,3 % de toute l’eau douce du monde entier.
  2. Les Grands Lacs constituent la plus vaste réserve au monde d’eaux douces de surface et contiennent approximativement 18 % des réserves mondiales d’eau douce de surface.
  3. Un milliard de personnes n’ont pas accès à une eau potable et 2,4 milliards de personnes n’ont pas accès à des installations d’assainissement appropriées.
  4. Avec l’adoption des Objectifs du Millénaire pour le développement de l’ONU, les États membres de l’Organisation se sont engagés à réduire de moitié, d’ici à 2015, le pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable.
  5. Une goutte d’huile peut rendre impropre à la consommation jusqu’à 25 litres d’eau.
  6. L’ajout de chlore à l’eau potable a permis de réduire sensiblement les risques de transmission de maladies par l’eau.
  7. On estime que les problèmes de santé liés à la pollution de l’eau coûtent 300 millions de dollars par année au Canada.
  8. On recommande qu’un personne consomme de 2 à 3 litres (environ 8 verres) de liquide par jour.
  9. Vous pouvez survivre environ un mois sans nourriture, mais seulement de cinq à sept jours sans eau.
  10. La première station municipale de traitement d’eau a été ouverte à Paisley (Écosse), en 1932.
  11. Il a été démontré que le comptage universel de l’eau peut réduire de 15 à 30 p. 100 la consommation globale d’eau dans les secteurs résidentiel, industriel, commercial et institutionnel.
  12. On estime que 26,5 millions de Canadiens bénéficiaient de services centraux d’approvisionnement en eau en 1999.
  13. On perd en moyenne 13 % de l’eau qui coule dans les conduites municipales en raison de fuites et jusqu’à 30 % dans certaines collectivités.
  14. Utilisation de l’eau à la maison au Canada : chasse d’eau – 30 %; bains et douches – 35 %; lessive – 20 %; boisson et cuisine – 10 %; nettoyage – 5 %
  15. Diverses utilisations de l’eau : chasse d’eau – 15-19 L; douche (5 min.) – 100 L; bain – 60 L; lave-vaisselle – 40 L; lavage de la vaisselle à la main – 35 L; lavage des mains – 8 L (à robinet ouvert); brossage des dents –10 L (à robinet ouvert); arrosage à l’extérieur – 35 L/min.; machine à laver – 225 L
  16. Un arroseur de pelouse qui vaporise 19 litres d’eau par minute consomme plus d’eau en une heure qu’il n’en faut en tout pour 10 chasses d’eau de la toilette, deux douches de cinq minutes, deux cycles du lave-vaisselle et une grosse brassée de lavage.