Les avantages d’utiliser un lave-pièces performant

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lave-piecesLes bacs à solvants sont des systèmes inefficaces et coûteux. Pourquoi? Principalement parce qu’il entraînent des coûts de main-d’oeuvre importants. Saviez-vous qu’il existe des solutions à ce problème? Un lave-pièces automatique.

Perdez-vous de l’argent à chaque jour?

Un bac à solvants entraîne des coûts mensuels pour l’entretien du bassin de nettoyage (qui inclue le coût du solvant). Cela peut sembler plus économique à prime abord, mais qu’en est-il de votre précieuse main-d’oeuvre qui doit quotidiennement frotter les pièces bien campée devant le bac à s’éreinter?

Vos techniciens pourraient travailler à l’usinage, à l’assemblage et à la réparation et pas au nettoyage!

Les lave-pièces ont un bon retour sur l’investissement

Il n’y a pas de calcul universel, mais les facteurs qui pourraient vous aider à prendre la décision sont :

  • Le taux horaire
  • Le nombre de bassins de nettoyage
  • Le nombre de techniciens affectés au nettoyage
  • Le nombre de minutes par jour affectées au nettoyage
  • Le coût mensuel ou annuel payé pour l’entretien de vos bassins

Ajoutez de la valeur à votre entreprise avec un lave-pièces automatique

Un lave-pièces automatique est une façon pour votre entreprise de transformer un coût récurent en profits en affectant vos ressources qualifiées aux tâches les plus rentables.

Catalogue de lave-pièces automatiques et nettoyeurs à pression

Visitez notre catalogue de lave-pièces.

Barbes et infections nosocomiales, font-elles bon ménage?

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Barbes et infections nosocomiales, font-elles bon ménage?

Les barbes, comme vous avez pu le remarquer, sont de retour. Qu’il s’agisse de barbe complète, d’une barbe hipster ou d’une simple moustache, les barbes sont bien populaires. Il est donc normal de se questionner sur la flore microbienne que ces barbes transportent.

Certaines critiques affirment que les barbes ne sont pas seulement mal propres, mais peuvent potentiellement héberger des bactéries pathogènes.

Cette peur des barbes, connue sous le nom de pogonophobie, est-elle justifiée?

Une récente étude scientifique, menée dans un hôpital américain, est venue à des conclusions très différentes. Dans cette étude, publiée dans le Journal of Hospital Infection, les chercheurs ont prélevé les bactéries des visages de 408 membres du personnel hospitalier avec et sans poils au visage.

Ils avaient de bonnes raisons de le faire. Nous savons que les infections nosocomiales sont la quatrième cause de mortalité aux États-Unis et au Canada. En moyenne, 1 patient sur 10 va contracter une infection lors de son séjour à l’hôpital. Mains, sarrau, cravates et équipements ont tous été mis en cause, mais que dire des barbes?

Des résultats étonnants

Eh bien, les chercheurs ont été surpris de constater que le personnel rasé de près, et non les barbus, était plus susceptible d’abriter des microorganismes pathogènes. Le groupe imberbe était trois fois plus susceptible d’être porteur d’une espèce connue comme le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) sur leurs joues rasées. Le SARM est une source particulièrement fréquente et pénible d’infections nosocomiales, car il est résistant à un grand nombre d’antibiotiques.

Comment l’expliquer? Les chercheurs ont suggéré que le rasage peut causer des microabrasions dans la peau qui peuvent soutenir la colonisation et la prolifération bactérienne. Certains avancent aussi que la flore microbienne de la barbe préviendrait la colonisation avec des bactéries pathogènes. Allons-nous un jour isoler de nouveaux antibiotiques dans la barbe des travailleurs de la santé? À suivre…

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Source : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0195670114000905

L’éveil de la bactérie « menace fantôme »

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Menace fantômeQuiconque me connait sait que je suis un fan de Star Wars. Malheureusement, il ne s’agit pas d’un jeu de mot avec les titres de l’épisode I et de l’épisode VII. Il s’agit d’une nouvelle super bactérie résistante aux antibiotiques: ERC (Entérobactériacés résistants à la carbapénème).

Entérobactéries résistantes aux carbapénèmes

Selon l’Institut canadien pour la sécurité des patients:

Les entérobactéries résistantes aux carbapénèmes (ERC) sont des bacilles Gram négatif,  tels que le Klebsiella et le E. coli qui se trouvent dans les intestins de toute personne, sauf que les ERC ont cette particularité qu’elles portent des gènes multi-antibiorésistants, qui rendent l’infection extrêmement difficile à traiter. L’on découvre de plus en plus de ces gènes; les premiers ont été rapportés à l’extérieur du Canada, mais des éclosions d’ERC ont également été signalées en sol canadien. Bien que peu d’établissements de santé aient été touchés par les ERC jusqu’ici, il est à peu près certain qu’ils le seront tous dans les années qui viennent.

Une menace fantôme

Selon la CDC (traduction libre):

Ce que nous savons est que l’ERC porte un plasmide, ou un morceau d’ADN mobile, avec une enzyme qui décompose les antibiotiques. Cette bactérie est dangereuse en raison de sa capacité à transférer le plasmide – et sa résistance aux antibiotiques correspondantes – à des bactéries normales présentes dans notre corps.

En attendant le prochain épisode

N’attendez pas une éclosion, Nous pouvons vous aidez. Allez consulter notre liste de désinfectants pour surfaces dures dès maintenant.

8 surfaces à désinfecter régulièrement pour réduire le risque infectieux lié au Norovirus

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surfaces

Bien que la saison de la gastro ne semble pas encore lever (touchons du bois), il est important de rappeler l’importance de la désinfection des surfaces. Chaque année au Québec, on rapporte plusieurs centaines d’éclosions, des milliers de cas de gastro-entérite infectieuse d’allure virale. Ces gastros sont majoritairement liés au norovirus. Évidemment, le lavage des mains est primordial, mais nous en parlerons une autre fois!

3 principaux modes de transmission

Le Center for Disease Control and Prevention (CDC) identifie 3 principaux modes de transmission pour le norovirus :

  • Manger et boire de la nourriture ou des liquides contaminés
  • Toucher une surface ou un objet contaminé puis porter les doigts à la bouche
  • Avoir un contact direct avec une personne infectée.

Minimiser les risques en désinfectant les surfaces

Pour aider à minimiser la transmission des virus, les gestionnaires et les préposés à l’hygiène et salubrité devraient insister et porter une attention particulière aux surfaces suivantes:

  1. Poignées de portes
    1. Les poignées de bureaux, de salles de bains, de réfrigérateurs, d’entrée, etc.
  2. Tables
    1. Les tables de cafétéria, tables de travail communes, etc.
  3. Ascenseurs
    1. Les boutons d’ascenseurs et rampes
  4. Chaises et bancs
    1. Les chaises, accoudoirs dans les salles d’attentes, à la cafétéria, etc.
  5. Interrupteurs
    1. À moins d’avoir des interrupteurs sans contact, le boutons de contrôle d’intensité, les interrupteurs de lumières.
  6. Équipements de la cuisine des employés
    1. Grilles-pains, réfrigérateurs, lave-vaisselles, robinets, micro-ondes, etc.
  7. Fontaines d’eau
    1. Boutons, surfaces en contact, buse.
  8. Rampes pour les mains
    1. Dans les corridors, les escaliers, etc.

Ainsi que toutes autres surfaces à haut potentiel de contamination susceptibles d’avoir été en contact avec les employés, les bénéficiaires ou avec les visiteurs.

Nous pouvons vous aider

Vous cherchez des produits pour le nettoyage ou pour la désinfection des surfaces, nos spécialistes peuvent vous aider. Appelez-nous au 514.645.7749, visitez notre site web: www.lalema.com ou lancez un chat (dans le sens de clavardage pas l’animal): Démarrer un clavardage.

L’importance du métier de l’entretien sanitaire face à la communauté

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sanitaire

En cette semaine de la COP21 je reprend un texte que j’ai publié il y a un certain temps car ça me parait important de souligner le rôle primordial de la salubrité dans nos environnements. En effet, les métiers du domaine de l’entretien sanitaire, que ce soit dans les hôpitaux, les écoles, les édifices publics, les bureaux ou les industries, sont d’une importance capitale.

Un rôle de responsabilité et d’éthique professionnelle

Dans toute entreprise, l’environnement du milieu conjugué à une bonne qualité d’entretien sanitaire, sont des éléments essentiels afin de maintenir constant le professionnalisme qui doit s’y dégager.

Cet énoncé étant aussi un principe élémentaire relativement à la qualité de vie au travail, celui-ci fait donc également état de l’importance et de la responsabilité des gens œuvrant dans le milieu de l’entretien sanitaire.

Ainsi, afin que l’intégration du préposé à l’entretien sanitaire puisse rencontrer ces éléments, il ou elle doit donc s’associer à des techniques de travail. De même, il (elle) doit aussi fouiller en profondeur la méthodologie associée à ces techniques et surtout de se maintenir au fait de l’évolution de ce métier.

Or, l’intuition à elle seule n’est plus suffisante si l’on veut vraiment offrir une performance professionnelle. La discipline personnelle, la maîtrise des connaissances et le goût du développement sont autant d’éléments majeurs servant à l’atteinte d’objectifs.

Donc, l’on comprend facilement que le métier de préposé à l’entretien sanitaire doit s’orienter vers les exigences de l’avenir et ainsi, permettre d’affirmer que : « Ce rôle en est un de responsabilité et d’éthique professionnelle ».

L’importance du métier de l’entretien sanitaire face à la communauté

Le préposé à l’hygiène et salubrité:

  • Assure et maintient une qualité de vie décente pour l’ensemble des individus composant un milieu donné.
  • Répond aux besoins élémentaires que nécessite la nature humaine par la salubrité des lieux.
  • Minimise les dangers de contamination par de bonnes techniques de travail, assurant ainsi un contrôle efficace de l’activité micro-organique.
  • Assure la cueillette régulière des déchets et des rebuts qui permet d’atténuer les risques d’accidents et d’incendies.
  • Assure une durée de vie maximale aux divers types de revêtements de surfaces et des ameublements du milieu.

Ce ne sont là que quelques exemples qui renforcent le rôles des équipes d’entretien sanitaire. Notre passion, vous la retrouvez également sur notre site www.lalema.com

Merci à vous qui chaque jour, par votre professionnalisme, votre dévouement et votre présence discrète, rendez notre environnement de travail meilleur!

Apparition des poubelles en 1883

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poubelle

J’ai la manie de dire que chaque invention porte le nom de son inventeur. Par exemple l’inventeur de la gomme balloune serait John GumBaloon. Souvent, j’ai tord, mais aujourd’hui je défile mon twitter et je tombe sur une petite perle rapportée par Monsieur Phillipe Paradis.

Apparition de la poubelle en 1883 à Paris

Le 24 novembre 1883,  Eugène René Poubelle impose aux Parisiens l’usage de contenants fermés pour se débarrasser des ordures et des déchets.

Il organise une cueillette quotidienne avec des voitures tirées par des chevaux. Et, signe que le développement durable ne date pas d’hier, il fait même une cueillette sélective en triant les déchets organiques, le verre et les … coquilles d’huîtres! Bon, au final, le triage n’a pas fonctionné et a dû être abandonné après 6 mois.

Boîte Poubelle

Son concept est à la base incompris, mal accueilli, sujet à des réactions hostiles et à la dérision. Au plus fort de la crise, un journaliste qualifiera ces contenants de « Boîte Poubelle ». L’histoire était écrite!

Gestion des déchets

Aujourd’hui, la gestion des déchets a grandement évolué. Voyez par vous même ce qu’on a à offrir:

www.lalema.com/poubelle

 

 

 

Source: Merci à Philippe Paradis (https://twitter.com/Philippe2307)

Biofilm et le futur de la désinfection

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Peut-être avez-vous déjà songé aux principaux facteurs affectant la désinfection et la stérilisation dans les centres de soins. Les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) aux États-Unis ont établi une liste des sept causes majeures affectant la persistance des microorganismes sur une surface.

  1. Le nombre de microorganismes
  2. La résistance des microorganismes aux désinfectants
  3. La concentration et l’efficacité des désinfectants utilisés
  4. Le temps de contact
  5. Les facteurs chimiques et physiques propres à l’environnement
  6. La présence de matière organique et inorganique
  7. Les biofilms

Pour plusieurs spécialistes en contrôle des infections, ces facteurs sont bien connus et bien adressés. Toutefois, savez-vous quelle est la différence entre la matière organique et les biofilms? Les deux affectent significativement l’efficacité de la désinfection. Par contre, les biofilms sont bien plus difficiles à éliminer et à contrôler.

Que sont les biofilms et comment se forment-ils?

Les biofilms sont issus d’une communauté de microorganismes entourés d’une couche protectrice de polymère extracellulaire. Cette couche adhère aux surfaces retrouvées dans notre quotidien telles que les surfaces dans les hôpitaux et devient une source importante de contamination. La formation de complexe extracellulaire ou d’un biofilm par les microorganismes est un phénomène naturel qui aide les microorganismes à se protéger des stress environnementaux tels que le nettoyage et la désinfection.

Plusieurs pathogènes nécessitent la présence de matière organique dans l’objectif de démarrer la formation d’un biofilm. Toutefois, certaines bactéries plus entreprenantes n’ont pas besoin de grand chose pour amorcer la création d’un biofilm. Lorsque les microorganismes se retrouvent dans un biofilm, ils sont beaucoup plus difficile à éliminer.

Il a été reporté que les bactéries présentes dans un biofilm pouvaient être jusqu’à 1 000 fois plus résistantes que celles n’étant pas dans un biofilm.

Biofilm

Source: wikimedia