Le Nettoyage dans les Hôpitaux (partie 2)

Temps de lecture : 2 minutes
Nettoyage dans les hôpitaux | Lalema inc.


Le nettoyage dans les hôpitaux permet de réduire le risque d’infection pour les patients. Bien entendu, ce n’est pas le seul facteur: les bonne pratiques d’hygiène personnelle notamment le lavage des mains et l’utilisation des équipements de protection personnelle comme les blouses, les gants, les masques ou les lunettes sont aussi des éléments importants.

Donc, pour avoir un bon plan d’entretien sanitaire des surfaces, il convient de bien coordonner les interventions. Un gestionnaire d’hygiène et salubrité doit alors considérer:

  • Le type de lieu associé au niveau de risque
  • Les tâches à effectuer
  • La fréquence d’entretien requise

Un devis détaillé et bien appliqué permet entre autre de valider l’efficacité du nettoyage.

L’approche globale sera déterminée par type de lieu:

  • Éradication systématique (ex. Salles d’opération)
  • Maintien d’une faible charge environnementale (ex. risque faible d’infection comme les espaces de bureau individuel)
  • Équilibre écologique des micro-organismes. Cette approche se base sur la concurrence entre bons et mauvais microbes. Si les bons microbes sont là, il y a moins de place pour la croissance des mauvais (ex. milieux de vie).
  • Salubrité verte. Approche qui utilise moins de produits toxiques
  • Revoir et améliorer les aménagements et/ou les revêtements (lors de la conception ou lors de rénovations)
Le prochain billet de cette série traitera d’un autre facteur clé: le personnel d’hygiène et salubrité.

Pour ne rien manquer de cette série sur le Nettoyage dans les hôpitauxn’oubliez pas de vous inscrire au blog. Pour cela, rien de plus simple que d’inscrire votre courriel dans la colonne de gauche. Vous désirez voir nos produits, visitez alors notre catalogue, le plus complet sur le marché, sur  www.lalema.com.

Sources:

Le nettoyage dans les hôpitaux du 21e siècle par le Dr. Stephanie J. Dancer, Medical, Microbiology, Hairmyres Hospital, UK paru dans la revue Le Nettoyage professionnel, Juillet/Août 2012.

Hygiène et salubrité en milieux de soins – Démarche pour le développement de stratégies d’entretien des surfaces, MSSS, 2010, 52 pages.

Le Nettoyage dans les Hôpitaux (partie 1)

Temps de lecture : 2 minutes
corridor-hopital-lalema

Le nettoyage a longtemps été une affaire de « visuel ». Une odeur fraîche de propreté et une absence de tache ou de résidu suffisaient pour définir qu’un lieu était propre. Cela dit, dans un environnement du bureau ou une salle de classe cela demeure généralement un bon indice de la propreté.

Mais nous savons également que les microbes (bactéries ou virus), invisibles à l’oeil nu, présentent un risque pour la transmission des infections. Prenez l’exemple du virus de la grippe, il peut survivre jusqu’à 48 heures sur une surface dure!

Sans procédure de désinfection établie ou un programme de contrôle de la qualité, les microbes peuvent donc survivre en milieu hospitalier.

3 facteurs-clés doivent être considérés pour effectuer une analyse du risque infectieux:

  • Le patient est-il porteur d’un agent pathogène? L’agent pathogène est classé selon sa capacité de propagation et sa virulence. Le choix d’un nettoyant-désinfectant en découlera également.
  • Les activités fonctionnelles du secteur représentent-elle un risque de transmission des infections par l’environnement? Ex. Services alimentaires, Bureaux, Soins intensifs, etc.
  • L‘intensité du contact est une fonction de l’achalandage des lieux et des surfaces les plus susceptibles d’être touchées. Ex: Robinetterie 
Avez-vous déjà effectuer une analyse du risque infectieux? Chez Lalema, nos conseillez peuvent vous aider à cheminer en ce sens et déterminer la solution adaptée à votre établissement. Le prochain billet de cette série dévoilera comment le nettoyage permet de réduire les risques d’infections des patients.

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Sources:

Le nettoyage dans les hôpitaux du 21e siècle par le Dr. Stephanie J. Dancer, Medical, Microbiology, Hairmyres Hospital, UK paru dans la revue Le Nettoyage professionnel, Juillet/Août 2012.

Hygiène et salubrité en milieux de soins – Démarche pour le développement de stratégies d’entretien des surfaces, MSSS, 2010, 52 pages.

L’hygiène des mains en milieu de travail

Temps de lecture : 3 minutes

Du lundi au vendredi, un employé passe entre 35-40 heures en moyenne au boulot à côtoyer ses collègues, fournisseurs et clients. Ainsi, pour l’hygiène des mains en milieu de travail, il est important de contrôler les infections en se nettoyant les mains couramment. À travers les poignées de main, les poignées de porte, les appareils électroniques, la manipulation de l’argent, les salles de toilettes et bien plus, les mains sont exposées aux germes et bactéries nocifs.

La semaine passée sur le blogue Lalema, on a parlé des mesures préventives pour le coronavirus 2019-nCov. Bien sûr, un masque respiratoire peut aider pour prévenir la transmission des infections par gouttelettes, mais quoi de mieux qu’un bon lavage des mains pour la prévention de propagation des maladies infectieuses. Donc, on peut prévenir une baisse de production et un taux d’absentéisme en gardant et promouvant l’hygiène des mains en milieu de travail.

Dans les salles de toilettes: Se laver et se sécher les mains

Savonnage

Se laver les mains est un processus quotidien souvent négligé, mal effectué et précipité. Bradley Corporation, un manufacturier international de produits commerciaux pour le lavage des mains, a mené un sondage en 2015 à ce sujet. Il a révélé que 92% des américains croient qu’il est important de toujours se laver les mains après avoir utilisé des toilettes publiques, mais que seulement 66% le font. Puis, 70% ont avoué sauter l’étape du savonnage et ne font que se rincer avec de l’eau. De plus, 60% des américains se lavent les mains en 15 secondes et moins, alors que le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) recommandent au moins 20 secondes de lavage pour éliminer et rincer les germes.

Aussi, ne pas oublier de bien se sécher les mains. Les mains mouillées sont à risque de transmettre des microbes plus facilement.

Les salles de toilettes d’un milieu de travail promouvant l’hygiène des mains devraient avoir tous ces items:

Dans les zones communes et achalandées: S’assainir ou se désinfecter les mains

Évidemment, se laver les mains avec de l’eau et un savon est la meilleure façon de se débarrasser des germes. Cependant, les salles de toilettes ne sont pas toujours à proximité. Selon l’OMS et le CDC, le désinfectant pour les mains est l’un des meilleurs outils pour éviter de tomber malade et de répandre les germes.

C’est pourquoi il est bien d’installer une station de désinfection des mains facilement accessible et à la vue de tous. Il est important d’en placer à des endroits clés, soit près et autour des surfaces hautement fréquentées.

Une station de désinfection des mains est normalement composée de:

Poste d’aseptisation

Eh oui! C’était encore un article sur le lavage des mains. On ne le dira jamais assez. Il faut se laver les mains! Que cela devienne une bonne habitude!

Sources et extraits –

https://www.cmmonline.com/articles/best-places-for-hand-sanitizer
https://www.prnewswire.com/news-releases/global-handwashing-day-focuses-on-need-for-universal-hand-hygiene-300159521.html

Le Nettoyage dans les Hôpitaux (partie 2)

Temps de lecture : 2 minutesNettoyage dans les hôpitaux | Lalema inc.
Le nettoyage dans les hôpitaux permet de réduire le risque d’infection pour les patients. Bien entendu, ce n’est pas le seul facteur: les bonne pratiques d’hygiène personnelle notamment le lavage des mains et l’utilisation des équipements de protection personnelle comme les blouses, les gants, les masques ou les lunettes sont aussi des éléments importants.

Donc, pour avoir un bon plan d’entretien sanitaire des surfaces, il convient de bien coordonner les interventions. Un gestionnaire d’hygiène et salubrité doit alors considérer:

  • Le type de lieu associé au niveau de risque
  • Les tâches à effectuer
  • La fréquence d’entretien requise

Un devis détaillé et bien appliqué permet entre autre de valider l’efficacité du nettoyage.

L’approche globale sera déterminée par type de lieu:

  • Éradication systématique (ex. Salles d’opération)
  • Maintien d’une faible charge environnementale (ex. risque faible d’infection comme les espaces de bureau individuel)
  • Équilibre écologique des micro-organismes. Cette approche se base sur la concurrence entre bons et mauvais microbes. Si les bons microbes sont là, il y a moins de place pour la croissance des mauvais (ex. milieux de vie).
  • Salubrité verte. Approche qui utilise moins de produits toxiques
  • Revoir et améliorer les aménagements et/ou les revêtements (lors de la conception ou lors de rénovations)
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Sources:

Le nettoyage dans les hôpitaux du 21e siècle par le Dr. Stephanie J. Dancer, Medical, Microbiology, Hairmyres Hospital, UK paru dans la revue Le Nettoyage professionnel, Juillet/Août 2012.

Hygiène et salubrité en milieux de soins – Démarche pour le développement de stratégies d’entretien des surfaces, MSSS, 2010, 52 pages.

Le Nettoyage dans les Hôpitaux (partie 1)

Temps de lecture : 2 minutescorridor-hopital-lalemaLe nettoyage a longtemps été une affaire de « visuel ». Une odeur fraîche de propreté et une absence de tache ou de résidu suffisaient pour définir qu’un lieu était propre. Cela dit, dans un environnement du bureau ou une salle de classe cela demeure généralement un bon indice de la propreté.

Mais nous savons également que les microbes (bactéries ou virus), invisibles à l’oeil nu, présentent un risque pour la transmission des infections. Prenez l’exemple du virus de la grippe, il peut survivre jusqu’à 48 heures sur une surface dure!

Sans procédure de désinfection établie ou un programme de contrôle de la qualité, les microbes peuvent donc survivre en milieu hospitalier.

3 facteurs-clés doivent être considérés pour effectuer une analyse du risque infectieux:

  • Le patient est-il porteur d’un agent pathogène? L’agent pathogène est classé selon sa capacité de propagation et sa virulence. Le choix d’un nettoyant-désinfectant en découlera également.
  • Les activités fonctionnelles du secteur représentent-elle un risque de transmission des infections par l’environnement? Ex. Services alimentaires, Bureaux, Soins intensifs, etc.
  • L‘intensité du contact est une fonction de l’achalandage des lieux et des surfaces les plus susceptibles d’être touchées. Ex: Robinetterie 
Avez-vous déjà effectuer une analyse du risque infectieux? Chez Lalema, nos conseillez peuvent vous aider à cheminer en ce sens et déterminer la solution adaptée à votre établissement. Le prochain billet de cette série dévoilera comment le nettoyage permet de réduire les risques d’infections des patients.

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Sources:

Le nettoyage dans les hôpitaux du 21e siècle par le Dr. Stephanie J. Dancer, Medical, Microbiology, Hairmyres Hospital, UK paru dans la revue Le Nettoyage professionnel, Juillet/Août 2012.

Hygiène et salubrité en milieux de soins – Démarche pour le développement de stratégies d’entretien des surfaces, MSSS, 2010, 52 pages.