Le Far West et les habitudes d’hygiène

Temps de lecture : 4 minutes
Far West - Ville abandonnée
Photo by Sarah Lachise on Unsplash

En lisant le titre de cet article, j’imagine que vous aviez eu à peu près la même réaction que moi. Vous vous êtes sûrement dit que les habitudes d’hygiène dans le Far West devaient être pratiquement inexistantes! Effectivement, il est difficile d’imaginer les habitudes d’hygiène dans le Far West alors que nous vivons présentement avec la COVID-19.

Brève histoire et colonisation du Far West

Le Far West est la période la plus célèbre de l’histoire de la région ouest américaine. Cette période a commencé en 1865 après la guerre de Sécession (entre 1861 et 1865) et s’est terminée en 1895. Géographiquement parlant, le Far West constitue les territoires situés dans l’ouest du Mississippi. Bien sûr, il y avait eu plusieurs vagues de colonisations dans l’ouest depuis l’arrivée des premiers colons européens en Amérique. La ruée vers l’or en Californie dans les années 1840 fut la première et l’appel du Manifest Destiny (l’idée que l’expansion vers l’ouest soit un droit américain et qu’il soit garanti) fut la deuxième. Grâce au développement des chemins de fer des années 1860 et à l’amélioration des technologies après la guerre civile, l’ouest a été plus accessible.

La présence de savon et shampoing

Selon Frank Clifford, un cowboy et un vagabond qui a écrit un mémoire sur sa vie dans le Far West américain, le savon existait. Il parlait de « savon à l’herbe », que les femmes mexicaines employaient pour laver leurs cheveux. Fabriqué à partir de la plante de yucca, le savon laissait les cheveux doux, propres et brillant. De nombreux colons utilisaient du savon fait de graisse animale, bien qu’il était connu pour être dur et irriter la peau. Cependant, le savon n’était pas une priorité. L’odeur corporelle était considérée comme une réalité et plusieurs croyaient que d’avoir des pores trop propres leurs exposaient aux germes et aux maladies.

Quant au shampoing, certaines personnes utilisaient l’herbe à savon pour se laver les cheveux lorsqu’ils avaient la chance d’en avoir. Comme autre méthode, c’était l’utilisation du whisky, qui était également utilisé comme désinfectant. On le mélangeait à de l’huile de ricin pour laver les cheveux, qui étaient par la suite rincés à l’eau de pluie ou à l’eau adoucie avec du borax.

L’inévitable poussière

À l’extérieur comme à l’intérieur, la poussière était inévitable dans le Far West. Fréquentes et dévastatrices, les tempêtes de poussière recouvraient les villes entières d’épaisses couches de terre et de crasses. Sarah Raymond Herndon, auteure de récits américains et qui a voyagé du Missouri à la région du Montana dans les années 1860 cite: « Oh, la poussière, la poussière ; c’est terrible. Je ne l’ai jamais vue pareille ; ça semble être presque jusqu’aux genoux par endroits […] Quand nous nous sommes arrêtés, le visage des garçons était un régal ; ils étaient couverts de toute la poussière qui pouvait s’y coller. » La présence d’autant de poussière a bien entendu causé de graves maladies respiratoires.

L’utilité du foulard

Le foulard, l’un des aspects emblématiques de la tenue du cow-boy, était un indispensable et utilisé à une multitude de fins. Il a servi pour protéger la bouche et le nez de la poussière (tel un masque), à protéger le cou du soleil, les oreilles du froid et bien plus.

Les serviettes communes dans les saloons

Saloon - Photo inconnue / Wikimedia Commons

Les serviettes dans les bars du Far West étaient utilisées pour essuyer la mousse de bières des bouches et barbes des clients. Ces serviettes communes étaient accessibles à tous près des comptoirs du bar. Elles étaient ainsi porteuses d’innombrables germes et de maladies.

Les toilettes extérieures, un cauchemar

Outhouse - Photo inconnue / Wikimedia Commons

Les toilettes extérieures, c’est aller dans une remise construite au-dessus d’un trou dans le sol. Lorsque le trou était plein, il était enterré. On déplaçait ensuite la structure à un autre trou. Elles attiraient toutes sortes d’insectes en raison de l’odeur. Ces toilettes étaient une façon facile d’attraper des maladies. Le papier de toilette n’existant pas, les gens se servaient de feuilles, d’épis de maïs et d’herbe.

Ne pas être malade était un miracle

Far West Base Camp - Mathew Benjamin Brady, Public domain, via Wikimedia Commons

Finalement, en raison des conditions insalubres des nombreuses personnes vivant dans le Far West, il était normal que les maladies affectent les établissements à la frontière américaine. Le choléra fut l’une des plus importantes et il fut dévastateur autant pour les colons que pour les Amérindiens. À l’arrivée dans un camp, Sarah Raymond Herndon racontait « Il n’y a pas du tout de maladie dans le camp ; c’est merveilleux comme nous allons très bien. J’espère que ça va continuer ainsi. »

Alors, c’est sans surprises que les habitudes d’hygiène de cette époque furent terribles.
Pour en savoir davantage sur l’histoire et d’autres faits du Far West, visitez les sources ci-bas.

Traduction Libre des Habitudes d’hygiène dans le Far West

Sources :

https://www.bavardist.com/life/habitudes-dhygiene-dans-le-far-west/3/?chrome=1
https://armoireaquestions.com/bibliotheque/article/read/68981-quel-epoque-far-west
https://the-western-shop.com/blogs/blog-du-western/far-west#:~:text=La%20colonisation%20de%20l’Ouest,s’est%20termin%C3%A9e%20en%201895
https://www.ranker.com/list/hygiene-wild-west/melissa-sartore
https://www.youtube.com/watch?v=nOg00Q08Wek

D’où vient le virus Zika?

Temps de lecture : 3 minutesTout débute à la fin des années 40. Une équipe de recherche en Ouganda, dirigée par Alexander Haddow, étudie la présence du virus de la fièvre jaune dans cette région. En avril 1950, l’équipe isole un nouveau virus chez un singe utilisé comme cobaye dans la forêt de Ziika.

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Source : NEWSCOM/SIPA

Premier cas du virus Zika chez l’humain

La première description d’un cas clinique chez l’humain remonte à 1954 au Nigéria. Puis, en 1956, une expérience sera faite sur un volontaire qui sera infecté au virus Zika à l’aide de moustiques eux-mêmes infectés. Le volontaire développe une faible fièvre et une éruption cutanée bénigne. Il se remet rapidement. Le paradigme est confirmé : le virus Zika peut vraisemblablement infecter les humains à partir d’un moustique.

Par la suite, le virus Zika sera isolé dans de nombreuses espèces de moustiques du genre Aedes en Afrique et en Malaisie. En 2007, ce virus est identifié en Micronésie, lors de la première épidémie de grande ampleur. Depuis, le virus Zika est considéré comme un virus émergent.

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Moustiques Aedes aegypti

En 2013, une épidémie fait rage en Polynésie française. Le virus s’étend rapidement et touche les cinq archipels qui comptent environ 270 000 habitants. Entre octobre 2013 et mars 2014, le nombre de personnes atteintes est estimé à 28 000. En Polynésie française, on décrit 73 cas de Guillain-Barré, un syndrome rare qui peut causer de la faiblesse jusqu’à la paralysie. D’autres cas sporadiques d’infection au virus Zika ont été documentés un peu partout en Océanie.

Au Brésil en début d’année 2015, des observations de patients présentant des symptômes ressemblant à la dengue attirent l’attention des autorités de santé publique. Un spécialiste en maladies infectieuses évalue les patients, tandis que les tests de laboratoire indiquent qu’il s’agit d’un virus différent de celui de la dengue et du chikungunya. En mars 2015, la présence du virus Zika sera confirmée par le laboratoire de virologie de l’Institut Carlos Chagas. Il s’agit de la première description d’infection acquise au virus Zika en Amérique.

La souche isolée au Brésil appartient à la lignée asiatique du virus Zika et ressemble à celles retrouvées en Océanie. Des experts pensent que le virus aurait été importé au Brésil lors des Championnats du monde de pirogue (va’a) qui se sont tenus à Rio en août 2014. Quatre pays d’Océanie dans lesquels le virus Zika circule depuis 2014 étaient présents.

Actuellement, il est estimé qu’environ 1,5 million de cas d’infection seraient survenus au Brésil, ce qui en fait la plus grande épidémie jamais répertoriée au virus Zika. De plus, le virus Zika est soupçonné de provoquer des cas de microcéphalie chez les fœtus de mères infectées. Selon le ministère brésilien de la Santé, en date de 2 février 2016, on comptabilise 4 783 cas suspects de microcéphalie. Les recherches se poursuivent activement pour tenter de démontrer que le Zika est impliqué dans ces malformations congénitales.

Le virus Zika représente-t-il un risque de contamination des surfaces?

À l’heure actuelle, il n’existe aucun vaccin contre le virus Zika. Il est recommandé de se protéger des piqûres en portant des vêtements longs et en utilisant des antimoustiques et des moustiquaires.

Le virus Zika se transmet principalement par les piqûres de moustiques. Toutefois, les mesures d’hygiène et salubrité doivent suivre leur procédures normales incluant la désinfection des surfaces à haut potentiel de contamination et le lavage des mains. Pour plus de détails, voir cet autre billet.

L’évolution du savon (partie 2)

Temps de lecture : 2 minutesevolution-savon

La semaine dernière, nous avons abordé les origines du savon, de la préhistoire à l’empire romain en passant par Babylone et Cléopâtre. Cette semaine, on enchaîne avec l’évolution du savon.

Les guildes de savonniers

Au Moyen Âge, il existait même des Guildes de savonniers qui protégeaient jalousement leur formule (souvent à base d’huile d’olive, de suif et de cendres et de parfums).

On rapporte aussi qu’en 1622, sous le règne du roi James 1er en Angleterre, un monopole dans la vente de savon exigeait près de  £20,000 en taxes annuellement!

Fabrication commerciale du savon

La fabrication commerciale débuta vraiment en 1791 lorsque le français Nicolas Leblanc a breveté un procédé de fabrication du savon lui permettant de produire de grande quantité de savon à faible coût. Les procédés ont évolués avec les années avec d’autres scientifiques tels Michel Eugène Chevreul et Ernest Solvay mais aussi par l’arrivée des grandes usines et l’invention de l’électricité.

Au début du siècle dernier, l’utilisation du savon est très répandue dans le monde entier que ce soit pour l’hygiène personnel, le lavage de la lessive, de la vaisselle ou des planchers!

La révolution du savon

Tout cela aurait pu en rester là. Sauf qu’en 1916,  une découverte révolutionnaire changea à jamais le monde du nettoyage. Alors la semaine prochaine, on parle de la Révolution du savon!

Abonnement au blogue et livre disponible

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Vous retrouvez ce contenu et plus encore dans mon livre Redéfinir l’hygiène, disponible aussi sur Amazon en format papier.

Histoire du mercredi : L’eau de Javel

Temps de lecture : 2 minutes

Appolo 11 - Nasa

Crédit: NASA

Cette semaine, on parle simplement de l’eau de Javel.

L’eau de Javel a été étudiée pour la première fois par un chimiste français du nom de Claude Louis Berthollet en 1775. Son usine était située à Paris dans le quartier de Javel, bien évidemment!

Au début, on l’utilise pour la lessive et comme décolorant. Dès 1820, un pharmacien du nom de  Antoine Germain Labarraque approfondit l’étude de ses propriétés désinfectantes. Au XIXe siècle, on l’utilise couramment comme désinfectant et le traitement de l’eau potable.

La NASA utilisa de l’eau de Javel durant le programme Apollo pour désinfecter la fusée Appolo XI à son retour pour éviter de contaminer la Terre avec de potentiels dangereux virus !

En réalité, grâce à son spectre microbien, le plus large connu à ce jour, l’eau de Javel est utilisée pour lutter contre la propagation des maladies : C. difficile, fièvre typhoïde, choléra, hépatite virale, SIDA, grippe aviaire et j’en passe.

L’eau de Javel est faite à base d’hypochlorite de sodium (NaClO). Pour les fans de chimie, on fabrique l’eau de Javel ainsi:

Cl2 + 2 NaOH → NaCl + NaClO + H2O.

Pour les autres, c’est la même formule!

De nos jours, on l’utilise encore comme désinfectant. Des formules stabilisées permettent de combiner l’action des surfactants à celle du chlore.

 
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La semaine prochaine, on dévoile le papier intelligent!
 

Sources: http://fr.wikipedia.org/wiki/Eau_de_Javel

 

Histoire du mercredi : La révolution du savon (partie 3)

Temps de lecture : 2 minutesbubblesDans la première partie de cette série, nous avons abordé les origines du savon, de la préhistoire à l’empire romain en passant par Babylone et Cléopatre. Ensuite, nous avons discuté de l’évolution du savon du Moyen-Âge au début du XXe siècle. On termine donc cette semaine avec la révolution du savon.

Tout cela aurait pu en rester là. Sauf qu’en 1916,  une découverte révolutionnaire changea à jamais le monde du nettoyage: La découverte des détergents synthétiques en Allemagne. C’est pour fabriquer du savon sans gras animal à cause du manque de matière première durant la Première Guerre Mondiale.

Mais ce n’est pas avant les années 40 que les détergents synthétiques deviendront populaires en Amérique. Dès les années 50, la production de surfactants dépasse celle du savon traditionnel.

Avec les années, au gré des innovations, les surfactants ont remplis plusieurs fonctions:

  • Détergents à vaisselle
  • Détergents à lessive
  • Produits pour les mains, le corps, les cheveux

Ces produits sont maintenant à la fois efficace et sécuritaire pour les consommateurs, les travailleurs et l’environnement.

Pour un prochain billet, j’aimerais connaître votre intérêt pour un sujet. N’hésiter pas à me laisser un commentaire!

Ceci termine la série sur le savon! Nous espérons que ce billet vous  a informé et diverti. Pour ne rien manquer de ces publications, n’oubliez pas de vous inscrire au blog. Pour cela, rien de plus simple que d’inscrire votre courriel dans la colonne de gauche.

 

Sources:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Savon

http://www.cleaninginstitute.org/assets/1/AssetManager/SoapsandDetergentsBook.pdf (excellent mais en anglais!)

http://www.healthycleaning101.org/french/SDAC_soaps-f.html (C’est le texte en français du PDF ci-haut)

Histoire du mercredi : L’évolution du savon (partie 2)

Temps de lecture : 2 minutesPhoto: Simon Tagish

La semaine dernière, nous avons abordé les origines du savon, de la préhistoire à l’empire romain en passant par Babylone et Cléopatre. Cette semaine, on enchaîne avec l’évolution du savon.

Au Moyen-Âge, il existait même des Guildes de savonniers qui protégeaient jalousement leur formule (souvent à base d’huile d’olive, de suif et de cendres et de parfums).

On rapporte aussi qu’en 1622, sous le règne du roi James 1er en Angleterre, un monopole dans la vente de savon exigeait près de  £20,000 en taxes annuellement!

La fabrication commerciale débuta vraiment en 1791 lorsque le français Nicolas Leblanc a breveté un procédé de fabrication du savon lui permettant de produire de grande quantité de savon à faible coût. Les procédés ont évolués avec les années avec d’autres scientifiques tels Michel Eugène Chevreul et Ernest Solvay mais aussi par l’arrivée des grandes usines et l’invention de l’électricité.

Au début du siècle dernier, l’utilisation du savon est très répandue dans le monde entier que ce soit pour l’hygiène personnel, le lavage de la lessive, de la vaisselle ou des planchers!

Tout cela aurait pu en rester là. Sauf qu’en 1916,  une découverte révolutionnaire changea à jamais le monde du nettoyage. Pour savoir de quoi il s’agit, vous devrez revenir la semaine prochaine. Si vous connaissez la réponse, vous pouvez l’écrire dans les commentaires (Je ferai tirer une petite surprise la semaine prochaine parmi toutes les bonnes réponses).

Alors la semaine prochaine, on parle de la Révolution du savon!

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Sources:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Savon

http://www.cleaninginstitute.org/assets/1/AssetManager/SoapsandDetergentsBook.pdf (excellent mais en anglais!)

http://www.healthycleaning101.org/french/SDAC_soaps-f.html (C’est le texte en français du PDF ci-haut)

Histoire du mercredi : L’origine du savon (partie 1)

Temps de lecture : 2 minutesPhoto: Malene Thyssen

Durant la préhistoire, on utilisait l’Eau pour se laver. Au moins, cela devait être efficace pour enlever la boue sur les mains.

En -2800, les Babyloniens mélangeaient déjà des cendres avec du gras animal (une façon de faire du savon) sans toutefois que l’on retrouve une référence sur l’utilisation qu’ils en faisait.

En -1500, les Égyptiens mélangeait du gras animal et végétal avec des sels alcalins pour soigner des plaies ou nettoyer la peau.

Les mots « savon » et « saponification » (ou « soap » en anglais) auraient comme origine une ancienne légende romaine (c’est probablement une invention car il n’existe pas de référence d’un mont Sapo en Italie!):

Au mont Sapo, suite aux sacrifices d’animaux, la pluie lavait un mélange de graisse animale fondue, ou suif, et de cendres de bois, qui se retrouvait dans le sol argileux des rives du Tibre. Les femmes s’aperçurent que, grâce à ce mélange argileux, leur linge était plus propre bien plus facilement.

Cette technique (mélange de gras + alkalis) pour fabriquer du savon sera utilisée pendant plusieurs siècles. La semaine prochaine, nous parlerons de l’évolution du savon et de l’industrialisation de la fabrication du savon.

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Sources:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Savon

http://www.cleaninginstitute.org/assets/1/AssetManager/SoapsandDetergentsBook.pdf (excellent mais en anglais!)

http://www.healthycleaning101.org/french/SDAC_soaps-f.html (C’est le texte en français du PDF ci-haut)

http://en.wikipedia.org/wiki/Mount_Sapo