Nettoyer et désinfecter les espaces publics durant la COVID-19

Temps de lecture : 3 minutes

Les commerces non essentiels aillant une porte donnant sur l’extérieur ont commencé à rouvrir depuis lundi le 25 mai. Il est donc primordial de bien nettoyer et désinfecter les espaces publics durant la COVID-19. On entend par lieux publics: les écoles, universités, bibliothèques publiques, musées, transports en commun, lieux d’hébergement communautaires et milieux de travail. Les lignes directrices suivantes, en ce qui à trait au nettoyage et à la désinfections, proviennent de l’Agence de la santé publique du Canada.

Travail et planification durant la COVID-19 – Photo par airfocus sur Unsplash

À savoir

Il faut choisir des produits à la fois nettoyant et désinfectant pour surfaces dures dans les espaces publics. Ces produits sont efficaces pour éliminer le coronavirus. On les utilise sur les surfaces fréquemment touchées avec les mains. Par exemple: toutes sortes de poignées, les boutons d’ascenseurs, les tables, les comptoirs et les appareils électroniques.

Ensemble de départ Myosan TB avec vaporisateur et chiffon microfibre

D’abord, les produits nettoyant ne tuent pas nécessairement les germes, mais ils les enlèvent et les réduisent en nombre pour ainsi réduire le risque de propagation.

Puis, les produits désinfectant eux tuent les germes qui se trouvent sur les surfaces à l’aide de produits chimiques.

Enfin, les produits désinfectants pour surfaces dures à utiliser doivent avoir un numéro d’identification du médicament (DIN). Santé Canada attribue ce numéro de huit chiffres pour confirmer que le produit désinfectant est approuvé et sécuritaire pour un usage au Canada.

Procédure de nettoyage

De prime abord, les exploitants d’espaces communautaires devraient élaborer des procédures et protocoles relatifs au nettoyage des lieux publics et examiner leurs procédures ou protocoles existants. Cela aide à déterminer les améliorations à apporter ou même d’effectuer des tâches de nettoyage supplémentaires. Ensuite, voici les points essentiels d’une procédure de nettoyage:

Ensemble

Ensemble durant la pandémie – Image par Succo

Contribuons à prévenir la propagation de la maladie à coronavirus en nettoyant et désinfectant nos surfaces! Bon nettoyage à tous! Je vous laisse en vous écrivant à nouveau ces 4 petits mots… Lavez-vous les mains!

Visitez Lalema pour tout autre article de nettoyage et équipement de protection.

Traduction libre de l’Agence de la santé publique du Canada :
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/maladies-et-affections/nettoyage-desinfection-espaces-publics.html

Toutes pareilles, les microfibres?

Temps de lecture : 3 minutesmicrofibres

Non, les microfibres ne sont pas toutes égales. Non, les microfibres ne sont pas toutes de la même qualité et au même prix. Mais oui, vous avez le pouvoir de choisir celle qui répond le mieux à vos besoins! Et il faut le dire, quelle diversité de choix vous avez!

Pour vous orienter dans cette diversité, nous vous proposons ces quelques petits trucs :

Identifier vos besoins

Quel usage ferez-vous de cette microfibre? Nettoierez-vous des vitres? Des planchers? Devez-vous nettoyer, désinfecter ou polir? Par exemple, les microfibres d’apparence plus douce et mince sont davantage utilisées pour polir des surfaces délicates tandis que les plus pelucheuses sont utilisées lors de travaux ménagers plus lourds.

Comparer les spécifications techniques

Certaines spécifications techniques indiquent le niveau de qualité et les propriétés d’une microfibre. De ceux-ci, privilégiez-en quatre :

  • Densité : le nombre de terminaux de fibres par pouce carré ou le nombre de grammes de fibres par mètre carré. Plus ce chiffre est élevé, mieux votre microfibre nettoiera!
  • Ratio de polyester sur polyamide (les 2 composantes de la microfibre): plus il y a de polyamide, meilleur c’est! Recherchez un ratio entre 80/20 et 70/30 %polyester / %polyamide.
  • Absorbance : le nombre de millilitres de liquide absorbé par mètre carré de microfibre (parfois aussi exprimé en millilitres par gramme). Plus ce chiffre est élevé, plus votre microfibre absorbera de liquide et moins de temps cela vous prendra pour faire le même travail.
  • Charpies : nombre de fibres, particules ou peluches laissées par centimètre carré de surface après passage avec la lingette. Plus ce chiffre est bas, mieux c’est car votre nettoyage se fera sans laisser des traces derrière!

Tester vos microfibres

Et si vous n’avez pas accès aux spécifications techniques? Ne perdez pas d’espoir! Voici quatre tests faciles pour vous aider à identifier les microfibres de meilleure qualité.

*Attention, ces tests ne sont pas scientifiques et ne devraient pas être utilisés seuls pour sélectionner une microfibre.

  • Texture : prenez la microfibre dans vos mains et manipulez-la. Une microfibre de bonne qualité possède des fibres séparées, ou de l’anglais ‘’split fibers’’. Celles-ci créent généralement la sensation de peluche rugueuse lorsqu’on y touche, et s’agrippent souvent aux imperfections de notre peau.
  • Absorbance : ajoutez un peu d’eau sur une surface, et passez par-dessus avec une microfibre bien pliée. Observez comment elle absorbe l’eau : cela devrait ressembler à l’effet d’un petit aspirateur!
  • Poids : pesez la microfibre en grammes et divisez ce nombre par sa superficie en pouce carré. Vous devriez obtenir un nombre dont les unités sont GPC (ou GSM de l’anglais), des grammes par pouce carré. Recherchez un résultat d’au minimum 250 GPC.
  • Étirement : placez-vous devant une source de lumière. Étirez le linge devant celle-ci et regardez à travers le linge. Si vous voyez aisément et intensément la lumière, votre microfibre est de moindre densité et donc très probablement de moindre qualité.

En conclusion, voici notre règle d’or :

Optez pour la qualité plutôt que la quantité! Le manque de qualité vient fort souvent avec un prix très bas; cependant, qui dit qualité dit longévité et dit achat plus économique à long-terme!

Ça vaut la peine d’y songer, qu’en dites-vous?

Suivez notre blog pour d’autres astuces sur les microfibres!

Abonnez-vous à ce blog par e-mail.

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

et faites comme nos 10,000 clients, inscrivez-vous à notre infolettre :

Inscrivez-vous maintenant ici

La santé au bout de vos doigts

Temps de lecture : < 1 minutechiffon wypall kimberly clark

Depuis la pandémie de H1N1 en 2009, on a jamais autant insisté sur le lavage des mains! Il existe cependant une source de contamination bien réelle et souvent négligée : les chiffons d’atelier réutilisables.

Une étude réalisée en 2003 et 2011 par la firme Gradient pour le compte de Kimberly Clark a démontré que l’utilisation de chiffons d’atelier réutilisables peut augmenter l’exposition du travailleur à plusieurs métaux lourds (plomb, cuivre, cobalt, cadmium, béryllium) jusqu’à 3 500 fois la norme de toxicité*.

Même si l’échantillonnage est faible, la présence de contaminants a été détecté dans 100 % des échantillons. Le seul fait que des chiffons fraîchement lavés contiennent encore des contaminants peut soulever des questionnements.

Quelles sont les solutions possibles?

  • Donner de la formation aux travailleurs (par exemple: ne pas manger sur les lieux de travail ou ne pas s’essuyer le visage avec des chiffons d’atelier).
  • Déterminer votre niveau d’acceptabilité du risque. (Est-ce que vous travaillez dans l’industrie alimentaire, pharmaceutique ou automobile?)
  • Utiliser des chiffons d’atelier jetables
    • Procéder à une analyse comparative du coût (vous pourriez être étonné!)
    • Obtenir une performance accrue
    • Choisir le maximum de contenu recyclé

Ce court vidéo vous montre un exemple d’absorption

Visitez notre portail d’information sur ce sujet.

 

* Source: Étude par GradientSite web The dirt on shop towels